Les paroles de la chanson
« Les guitares »
La Tordue
Les forêts indécises
Telles de noirs vaisseaux
S’esclaffent dans la brise
En laissant dans leurs eaux
Mille baisers lancés
Du haut des bastingages
Les cris d’oiseaux mêlés
Au tango des nuages
Suiv’ comme celles d’une main
La ligne du sillage
Le roulis du destin
Fait le bruit que ferait
Le silence en chemin
Sous la houle des forêts
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares et la voix du vent fou
Qui rend soûl dans le soir
Que chantent les guitares
En glissant sur la coque
L’écume fredonne
L’histoire le patchwork
Des femmes et des hommes
De ces gars de ces brunes
Ces matins et ces soirs
Quand la corne de brume
Fait danser les mouchoirs
Le bateau appareille
Sur le ciel reflété
Où se noie le soleil
Qui transperce d’archets
La musique qui sommeille
Dans le creux des forêts
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares et la voix du vent fou
Qui rend soûl dans le soir
Que chantent les guitares
Comme un navire sombre
Descend la nuit alors
Dans cette marée d’ombre
Les bois rêv’ des doigts d’or
Ceux qui donneront des ailes
Par le feu des accords
A leur mi chanterelle
Que les femmes dans les îles
Ecouteront vibrer
En repeignant leurs cils
Avant de chavirer
Dans l’eau d’une autre histoire
Qu’un jour je vous dirai
Mais c’est une autre histoire
Telles de noirs vaisseaux
S’esclaffent dans la brise
En laissant dans leurs eaux
Mille baisers lancés
Du haut des bastingages
Les cris d’oiseaux mêlés
Au tango des nuages
Suiv’ comme celles d’une main
La ligne du sillage
Le roulis du destin
Fait le bruit que ferait
Le silence en chemin
Sous la houle des forêts
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares et la voix du vent fou
Qui rend soûl dans le soir
Que chantent les guitares
En glissant sur la coque
L’écume fredonne
L’histoire le patchwork
Des femmes et des hommes
De ces gars de ces brunes
Ces matins et ces soirs
Quand la corne de brume
Fait danser les mouchoirs
Le bateau appareille
Sur le ciel reflété
Où se noie le soleil
Qui transperce d’archets
La musique qui sommeille
Dans le creux des forêts
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares, les guitares, les guitares
Que chantent les guitares et la voix du vent fou
Qui rend soûl dans le soir
Que chantent les guitares
Comme un navire sombre
Descend la nuit alors
Dans cette marée d’ombre
Les bois rêv’ des doigts d’or
Ceux qui donneront des ailes
Par le feu des accords
A leur mi chanterelle
Que les femmes dans les îles
Ecouteront vibrer
En repeignant leurs cils
Avant de chavirer
Dans l’eau d’une autre histoire
Qu’un jour je vous dirai
Mais c’est une autre histoire