Les paroles de la chanson
« Les guitares »
Polo
L’autre jour en passant
Près du métro Pigalle
J’ai vu l’adolescent
Que j’étais autrefois
Un semblant d’Iroquois,
Presque encore un enfant
Près du métro Pigalle.
L’œil d’un faon apeuré mais ouvert au plaisir
Et ses économies au fond du perfecto
L’esprit plein de questions, le corps plein de désir
Près du métro Pigalle.
Il s’en allait aux guitares,
Aux guitares qui se déhanchent
Il s’en allait aux guitares
Entre Pigalle et Blanche
Gibson de bois brûlé
Flambant dans la vitrine
Aux blanches mécaniques
Et aux fleurs incrustées,
Attendant le client d’un air désabusé
Près du métro Pigalle.
Stratocaster polies sous leurs plaques nacrées
A la gorge serrée et aux aigus tranchants
Série "L" de légende aux vernis craquelants
Près du métro Pigalle
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche,
Elles sont si belles
Il finira aux bras
D’une Aria japonaise
Copie Lespo, avec jeu de cordes en cadeau
Son éternel fardeau
Lové dans un flight case
Près du métro Pigalle.
Il déshabillera
Sa vierge de cuir noir
Il se regardera
Dans la glace avec elle
Du haut de ses vingt ans,
Sait-il déjà qu’un soir
Près du métro Pigalle,
Il l’abandonnera
Pour une autre guitare
Pour une autre plus belle?
Je vois encore les guitares,
Les guitares qui se déhanchent
Je vois encore les guitares
Entre Pigalle et Blanche
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche
Elles sont si belles, si belles
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche.
Près du métro Pigalle
J’ai vu l’adolescent
Que j’étais autrefois
Un semblant d’Iroquois,
Presque encore un enfant
Près du métro Pigalle.
L’œil d’un faon apeuré mais ouvert au plaisir
Et ses économies au fond du perfecto
L’esprit plein de questions, le corps plein de désir
Près du métro Pigalle.
Il s’en allait aux guitares,
Aux guitares qui se déhanchent
Il s’en allait aux guitares
Entre Pigalle et Blanche
Gibson de bois brûlé
Flambant dans la vitrine
Aux blanches mécaniques
Et aux fleurs incrustées,
Attendant le client d’un air désabusé
Près du métro Pigalle.
Stratocaster polies sous leurs plaques nacrées
A la gorge serrée et aux aigus tranchants
Série "L" de légende aux vernis craquelants
Près du métro Pigalle
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche,
Elles sont si belles
Il finira aux bras
D’une Aria japonaise
Copie Lespo, avec jeu de cordes en cadeau
Son éternel fardeau
Lové dans un flight case
Près du métro Pigalle.
Il déshabillera
Sa vierge de cuir noir
Il se regardera
Dans la glace avec elle
Du haut de ses vingt ans,
Sait-il déjà qu’un soir
Près du métro Pigalle,
Il l’abandonnera
Pour une autre guitare
Pour une autre plus belle?
Je vois encore les guitares,
Les guitares qui se déhanchent
Je vois encore les guitares
Entre Pigalle et Blanche
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche
Elles sont si belles, si belles
Elles sont si belles à Pigalle
Les guitares qui se déhanchent
Elles sont si belles les guitares
Entre Pigalle et Blanche.