Les paroles de la chanson
« Les grands remous »
Richard Desjardins
Les météores et les comètes percent la nuit
Le vent du nord a percé mon jacket,
Des heures et des heures qui passent
sans qu’une auto s’arrête embarré dehors.
Je sens tout d’un coup que là-bas
un homme m’envisage comme un bandit mal pris,
Je n’entends que l’écho de mon cœur qui débat,
Quand est-ce qu’on va sortir du bois?
Ooh! ooh! La mélodie du trou
Dessous le pont les grands remous.
Où chus, qui chus, quessé qu’y veut?
J’ai du m’tromper quequ’part,
Je lâche un cri dans le brouillard.
" Hey man, as-tu du feu? "
Y fait signe que oui.
Enfin un signe de vie,
je m’approche de lui,
Dans la lueur de l’allumette
ses doigts brûlés par le frette?
Voici ce qu’il m’a dit :
" La guidoune de l’hôtel
est sorti manger toute l’épinette noire;
T’aurais pu rien à voir.
La Oil Can Quaker State a spillé
dans le réservoir
T’auras pu rien à boire. "
Ooh! ooh! La mélodie du trou.
Dessous le pont, oh les grands remous.
" Va dire à tes amis
que j’ai pu le goût à l’amour.
Va dire à tes amis
que j’ai pu le goût à l’amour
à l’amour.
On va se r’voir, on va se r’voir. "
Le vent du nord a percé mon jacket,
Des heures et des heures qui passent
sans qu’une auto s’arrête embarré dehors.
Je sens tout d’un coup que là-bas
un homme m’envisage comme un bandit mal pris,
Je n’entends que l’écho de mon cœur qui débat,
Quand est-ce qu’on va sortir du bois?
Ooh! ooh! La mélodie du trou
Dessous le pont les grands remous.
Où chus, qui chus, quessé qu’y veut?
J’ai du m’tromper quequ’part,
Je lâche un cri dans le brouillard.
" Hey man, as-tu du feu? "
Y fait signe que oui.
Enfin un signe de vie,
je m’approche de lui,
Dans la lueur de l’allumette
ses doigts brûlés par le frette?
Voici ce qu’il m’a dit :
" La guidoune de l’hôtel
est sorti manger toute l’épinette noire;
T’aurais pu rien à voir.
La Oil Can Quaker State a spillé
dans le réservoir
T’auras pu rien à boire. "
Ooh! ooh! La mélodie du trou.
Dessous le pont, oh les grands remous.
" Va dire à tes amis
que j’ai pu le goût à l’amour.
Va dire à tes amis
que j’ai pu le goût à l’amour
à l’amour.
On va se r’voir, on va se r’voir. "