Les paroles de la chanson
« Les gens qui vont »
Alain Barrière
Les gens qui vont, les gens qui viennent
N’ont pas le temps de s’arrêter
Pour regarder couler la Seine
Le long des quais
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Notre Paris, ce soir, est fatiguée
Arrête-toi un instant, mon ami
Regarde-la qui fout le camp, ta vie
Non, n’aie pas peur, garde-la près de toi
Ne la laisse pas te glisser des doigts
Mais que t’importent tous ces boniments
Ce n’est pas ainsi que tu l’entends
Toi, tu veux vivre sans trop y penser
Et puis la Seine, tu la laisses couler
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Sont comme toi, ils sont pressés
Ils ne s’arrêtent à la fontaine
Que le cœur gai
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Ils te laissent, ma pauvre Seine,
Seule à couler
Coulez, romance et coulez, chanson
Coulez mais coulez donc
Coulez, soleil et coulez, printemps
Notre monde s’en moque tant
Tourne la roue et tournent les saisons
Tournez mais tournez donc
Emplis-toi vite, mon bel arc-en-ciel,
Emporte-la, ma chanson
Les gens qui vont, les gens qui viennent
N’ont pas le temps de s’arrêter
Pour regarder couler la Seine
Le long des quais
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Notre Paris, ce soir, est fatiguée
N’ont pas le temps de s’arrêter
Pour regarder couler la Seine
Le long des quais
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Notre Paris, ce soir, est fatiguée
Arrête-toi un instant, mon ami
Regarde-la qui fout le camp, ta vie
Non, n’aie pas peur, garde-la près de toi
Ne la laisse pas te glisser des doigts
Mais que t’importent tous ces boniments
Ce n’est pas ainsi que tu l’entends
Toi, tu veux vivre sans trop y penser
Et puis la Seine, tu la laisses couler
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Sont comme toi, ils sont pressés
Ils ne s’arrêtent à la fontaine
Que le cœur gai
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Ils te laissent, ma pauvre Seine,
Seule à couler
Coulez, romance et coulez, chanson
Coulez mais coulez donc
Coulez, soleil et coulez, printemps
Notre monde s’en moque tant
Tourne la roue et tournent les saisons
Tournez mais tournez donc
Emplis-toi vite, mon bel arc-en-ciel,
Emporte-la, ma chanson
Les gens qui vont, les gens qui viennent
N’ont pas le temps de s’arrêter
Pour regarder couler la Seine
Le long des quais
Les gens qui vont, les gens qui viennent
Ne prennent pas le temps d’aimer
Notre Paris, ce soir, est fatiguée