Les paroles de la chanson
« Les gars qui marchaient »
Édith Piaf
Y avait des gars qui marchaient
Y avait des gars qui chantaient
On n’savait pas où ils allaient
On n’savait pas ce qu’ils chantaient
Mais la cadence de leur pas
Mêlée au rythme des voix
Ca vous flanquait à tour de bras
Un fameux coup dans l’estomac
On n’osait pas s’en mêler
On les r’gardait défiler
Bon sang d’bonsoir que c’était beau
Tous ces hommes sans un drapeau
Salut mon gars, salut, viens
Dis-nous un peu d’où tu viens
Je viens de là où j’ai souffert
Et je m’en vais juste à l’envers
Alors mon gars, dis, allons-y
On a souffert nous aussi
Et si tu veux, on ira voir
Ce que la vie cache dans ses tiroirs
Et tous les gars qui marchaient
Avec tous ceux qui suivaient
Chanson derrière, chanson devant
Ca bourdonnait comme un torrent
Ils ont crevé l’horizon
Pour y planter leur chanson
Ont abattu tous les vieux murs
Et dit "bon Dieu, que l’air est pur"
Profitons-en, tous les copains
On va bâtir à sa place
Vous d’bout les hommes auront le droit
De vivre en paix si ça leur va
Et tous les hommes en cohue
Et en venant ils ont vu
Le ciel du feu qui s’éclairait
Pendant que tous ces gars chantaient
Y avait des gars qui chantaient
On n’savait pas où ils allaient
On n’savait pas ce qu’ils chantaient
Mais la cadence de leur pas
Mêlée au rythme des voix
Ca vous flanquait à tour de bras
Un fameux coup dans l’estomac
On n’osait pas s’en mêler
On les r’gardait défiler
Bon sang d’bonsoir que c’était beau
Tous ces hommes sans un drapeau
Salut mon gars, salut, viens
Dis-nous un peu d’où tu viens
Je viens de là où j’ai souffert
Et je m’en vais juste à l’envers
Alors mon gars, dis, allons-y
On a souffert nous aussi
Et si tu veux, on ira voir
Ce que la vie cache dans ses tiroirs
Et tous les gars qui marchaient
Avec tous ceux qui suivaient
Chanson derrière, chanson devant
Ca bourdonnait comme un torrent
Ils ont crevé l’horizon
Pour y planter leur chanson
Ont abattu tous les vieux murs
Et dit "bon Dieu, que l’air est pur"
Profitons-en, tous les copains
On va bâtir à sa place
Vous d’bout les hommes auront le droit
De vivre en paix si ça leur va
Et tous les hommes en cohue
Et en venant ils ont vu
Le ciel du feu qui s’éclairait
Pendant que tous ces gars chantaient