Les paroles de la chanson
« Les flammes du mal »
Passi
Pigalle samedi minuit capote saloperie de carotte;
dansez, ce soir Mephisto a la cote;
miséricorde à ceux qui vont en profiter;
et à quelques pas de là, dans les cités...
Ça pue la merde, ça sent l’herbe;
les gens sont comme des Serbes;
dans le quartier veulent "Cartier, Lacoste, Ralph";
sans claquer, beaucoup sont claqués;
Des Bombes, CRS, des militaires;
"A mort les porcs" en décor sur les murs dehors;
2. 1 : Passi étudie le terrain;
1. 2. 3 : ça sent le souffre et le dawa;
Réalité dans l’escalier, le petit sous télé grandit;
vit du "Kamé Améha" amené au canné planté;
tu me pousses, le pushka tousse, nos vies;
c’est nos bourses, tracer, y passer ou tout casser;
Tes grands plans MJC, assez! Le million, le million!!
On s’envenime pour peser, donc encore l’autre nuit;
les flammes du mal ont frappé la té-ci;
le temps des mots terminé, prier c’est grillé;
Là-haut ça repond pas, donc on s’allie au diable;
Et comme Atila, on va piétiner ci et là;
prendre par le sabre;
{Refrain:}
Le sang et le feu sont réclamés par la foule,
sur le bitume l’engrenage se déroule.
Foutre le dawa, nicker la rhala,
les flammes de l’enfer vu que le paradis n’est pas.
Coups de crocs d’escrocs qui s’escroquent;
évoluent dans nos rues. Salut!
La nuit, les loups font du biz, les cerbères sont à l’affût;
Le prolétaire du PMU fonce-dé au rouge va te viser;
Halte sur l’asphalte, tout est si vite arrivé;
Bienvenue dans les cités où la police ne va plus;
Nos zipots récoltent le fruit d’actes désinvoltes;
survoltés comme des pits survoltent, traquent;
avec leurs colts;
1: coup de pression;
[Vas-y, baisse les yeux petite salope]
2: course poursuite, voilà les flammes sur le macadam;
ça part en vrille, se nique et se bousille;
Plus de combat dans la ville, ça se troue et s’enfile;
Pour tous c’est le même "bitin", la réputation;
il faut le butin et ça se butte pour des histoires à franc un;
Ça brûle à la mémoire du disparu, trop l’ont vu;
Croquer, "coker", t’es choqué, OK c’est déréglé;
mais nous sommes des satellites sans orbite.
{au Refrain}
309, keufs, prépare ton bluff;
22, 22, v’là que le bleu bave, bute, et fait feu;
Bouge tes seufs. Le diable débarque au tié-quar;
pendant les premières larmes;
On fait appel à la flamme pour calmer les ’mes;
Ça veut se venger dans la foulée, allez;
certains vont brûler. D’autres pour se défouler;
viendront aussi tout péter, féler des vitrines;
casser, filer, recéler, penser au blé;
le biz continue à rouler;
Barres de fer, CRS, casques, fumigènes, boucliers;
tant pis pour les affolés, ça va charger, détaler;
Barrages installés, les pavés vont volés, olé;
le sang va couler et plus tard le maton te guette;
Certains vont tourner, tourner, gaméler, galérer;
les ’mes vont danser, les scar-las sortent blasés;
viennent embraser les esprits brûlants, surexcités;
c’est certain, les plombs vont sauter;
ma 6 T va cr.....
{au Refrain}
dansez, ce soir Mephisto a la cote;
miséricorde à ceux qui vont en profiter;
et à quelques pas de là, dans les cités...
Ça pue la merde, ça sent l’herbe;
les gens sont comme des Serbes;
dans le quartier veulent "Cartier, Lacoste, Ralph";
sans claquer, beaucoup sont claqués;
Des Bombes, CRS, des militaires;
"A mort les porcs" en décor sur les murs dehors;
2. 1 : Passi étudie le terrain;
1. 2. 3 : ça sent le souffre et le dawa;
Réalité dans l’escalier, le petit sous télé grandit;
vit du "Kamé Améha" amené au canné planté;
tu me pousses, le pushka tousse, nos vies;
c’est nos bourses, tracer, y passer ou tout casser;
Tes grands plans MJC, assez! Le million, le million!!
On s’envenime pour peser, donc encore l’autre nuit;
les flammes du mal ont frappé la té-ci;
le temps des mots terminé, prier c’est grillé;
Là-haut ça repond pas, donc on s’allie au diable;
Et comme Atila, on va piétiner ci et là;
prendre par le sabre;
{Refrain:}
Le sang et le feu sont réclamés par la foule,
sur le bitume l’engrenage se déroule.
Foutre le dawa, nicker la rhala,
les flammes de l’enfer vu que le paradis n’est pas.
Coups de crocs d’escrocs qui s’escroquent;
évoluent dans nos rues. Salut!
La nuit, les loups font du biz, les cerbères sont à l’affût;
Le prolétaire du PMU fonce-dé au rouge va te viser;
Halte sur l’asphalte, tout est si vite arrivé;
Bienvenue dans les cités où la police ne va plus;
Nos zipots récoltent le fruit d’actes désinvoltes;
survoltés comme des pits survoltent, traquent;
avec leurs colts;
1: coup de pression;
[Vas-y, baisse les yeux petite salope]
2: course poursuite, voilà les flammes sur le macadam;
ça part en vrille, se nique et se bousille;
Plus de combat dans la ville, ça se troue et s’enfile;
Pour tous c’est le même "bitin", la réputation;
il faut le butin et ça se butte pour des histoires à franc un;
Ça brûle à la mémoire du disparu, trop l’ont vu;
Croquer, "coker", t’es choqué, OK c’est déréglé;
mais nous sommes des satellites sans orbite.
{au Refrain}
309, keufs, prépare ton bluff;
22, 22, v’là que le bleu bave, bute, et fait feu;
Bouge tes seufs. Le diable débarque au tié-quar;
pendant les premières larmes;
On fait appel à la flamme pour calmer les ’mes;
Ça veut se venger dans la foulée, allez;
certains vont brûler. D’autres pour se défouler;
viendront aussi tout péter, féler des vitrines;
casser, filer, recéler, penser au blé;
le biz continue à rouler;
Barres de fer, CRS, casques, fumigènes, boucliers;
tant pis pour les affolés, ça va charger, détaler;
Barrages installés, les pavés vont volés, olé;
le sang va couler et plus tard le maton te guette;
Certains vont tourner, tourner, gaméler, galérer;
les ’mes vont danser, les scar-las sortent blasés;
viennent embraser les esprits brûlants, surexcités;
c’est certain, les plombs vont sauter;
ma 6 T va cr.....
{au Refrain}