Les paroles de la chanson
« Les filles électriques »
Alain Souchon
Tout au long de la vie qui pique,
On prend des beignes
À vouloir toucher les filles électriques,
Des sacrées châtaignes.
On retrouve, couché par terre,
L’effet uppercut.
Les filles, sans en avoir l’air,
Ça électrocute.
Tout au long d’la vie qui pique,
On veut s’évader
En touchant, pour le physique,
Les filles dénudées.
On s’retrouve alors par terre,
Triste et tout nu.
En amour, de toute manière,
On prend du jus.
Tout au long d’la vie, c’est sûr,
On s’abîme le cœur
À vouloir mettre la main sur
Les filles conducteur.
La mélancolie des passions
Nous chloroforme.
Faut refaire toute l’installation :
Rien n’est conforme.
Tout au long d’la vie qui serre,
On s’égratigne
Au mystère des filles de fer,
Sur toute la ligne.
Ou alors faut s’isoler,
Comme dans un linceul,
Et jouer d’sa guitare tout seul
Sous les tilleuls.
On prend des beignes
À vouloir toucher les filles électriques,
Des sacrées châtaignes.
On retrouve, couché par terre,
L’effet uppercut.
Les filles, sans en avoir l’air,
Ça électrocute.
Tout au long d’la vie qui pique,
On veut s’évader
En touchant, pour le physique,
Les filles dénudées.
On s’retrouve alors par terre,
Triste et tout nu.
En amour, de toute manière,
On prend du jus.
Tout au long d’la vie, c’est sûr,
On s’abîme le cœur
À vouloir mettre la main sur
Les filles conducteur.
La mélancolie des passions
Nous chloroforme.
Faut refaire toute l’installation :
Rien n’est conforme.
Tout au long d’la vie qui serre,
On s’égratigne
Au mystère des filles de fer,
Sur toute la ligne.
Ou alors faut s’isoler,
Comme dans un linceul,
Et jouer d’sa guitare tout seul
Sous les tilleuls.