Les paroles de la chanson
« Les filles d'aujourd'hui »
Michel Sardou
Elles aiment les garçons
Au teint pâle et femelle
Qui se noient dans un lit
Mais qui dorment avec elles.
Elles s’ennuient lorsqu’elles aiment l’amour
Car le viril n’a vraiment plus court
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Les filles aiment l’amour
Conjugué au plus triste.
En possédant l’argent,
Elles vivent en artistes.
Elles s’accrochent à la société
En criant que le tout a changé,
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Les nuits passent trop vite
Au gré de l’insouciance.
Il faut boire beaucoup
Pour aimer l’existence
Et si les pantalons
Leur serrent un peu les cuisses,
On les craque en riant
Sur un air, sur un air...
De mots qui disent,
Elles se changent souvent
Pour exciter la piste
On ne se connaît plus.
L’amitié c’est trop triste.
Il faut croire en sa liberté
Et la rire pour ne pas en pleurer,
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Elles aiment les garçons
Au teint pâle et femelle
Qui se noient dans un lit
Mais qui dorment avec elles.
Elles s’ennuient lorsqu’elles aiment l’amour
Car le viril n’a vraiment plus court.
Aujourd’hui,
Aujourd’hui...
Au teint pâle et femelle
Qui se noient dans un lit
Mais qui dorment avec elles.
Elles s’ennuient lorsqu’elles aiment l’amour
Car le viril n’a vraiment plus court
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Les filles aiment l’amour
Conjugué au plus triste.
En possédant l’argent,
Elles vivent en artistes.
Elles s’accrochent à la société
En criant que le tout a changé,
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Les nuits passent trop vite
Au gré de l’insouciance.
Il faut boire beaucoup
Pour aimer l’existence
Et si les pantalons
Leur serrent un peu les cuisses,
On les craque en riant
Sur un air, sur un air...
De mots qui disent,
Elles se changent souvent
Pour exciter la piste
On ne se connaît plus.
L’amitié c’est trop triste.
Il faut croire en sa liberté
Et la rire pour ne pas en pleurer,
Aujourd’hui, aujourd’hui.
Elles aiment les garçons
Au teint pâle et femelle
Qui se noient dans un lit
Mais qui dorment avec elles.
Elles s’ennuient lorsqu’elles aiment l’amour
Car le viril n’a vraiment plus court.
Aujourd’hui,
Aujourd’hui...