Les paroles de la chanson
« Les fiacres »
Francis Lemarque
Les fiacres jaunes de l’Urbaine
Peuvent bien cesser d’exister
S’ils ne sont plus, ils ont été
Et je crois les voir trottiner
En descendant tout d’une haleine
De Montmartre à la Madeleine
Ou la sinistre Trinité
Sans prendre garde au paysage
Pouvu qu’on ne fût pas pressé
Et qu’on tînt les rideaux baissés
Ils nous faisaient faire un voyage
Où quelquefois dans un virage
Tout était à recommencer
Tout était à recommencer
Le cocher qu’était un complice
Et les agents fermant les yeux
N’y voyaient aucune malice
C’était, c’était le temps
C’était, c’était le temps
C’était le temps des amoureux
C’était, c’était le temps
C’était, c’était le temps
C’était le temps des amoureux
Les fiacres jaunes de l’Urbaine
Peuvent bien cesser d’exister
S’ils ne sont plus, ils ont été {x3}
Peuvent bien cesser d’exister
S’ils ne sont plus, ils ont été
Et je crois les voir trottiner
En descendant tout d’une haleine
De Montmartre à la Madeleine
Ou la sinistre Trinité
Sans prendre garde au paysage
Pouvu qu’on ne fût pas pressé
Et qu’on tînt les rideaux baissés
Ils nous faisaient faire un voyage
Où quelquefois dans un virage
Tout était à recommencer
Tout était à recommencer
Le cocher qu’était un complice
Et les agents fermant les yeux
N’y voyaient aucune malice
C’était, c’était le temps
C’était, c’était le temps
C’était le temps des amoureux
C’était, c’était le temps
C’était, c’était le temps
C’était le temps des amoureux
Les fiacres jaunes de l’Urbaine
Peuvent bien cesser d’exister
S’ils ne sont plus, ils ont été {x3}