Les paroles de la chanson
« Les fatigues du dimanche »
Daniel Guichard
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
On est bien trop endormis
Pour se retrousser les manches
Le temps de boire un café
De fumer une cigarette
Et nous voilà repartis
Doucement jusqu’à samedi
Le tiercé qu’on a loupé
Le lundi, ça passe pas
On en parle pour oublier qu’on est là
On cause de n’importe quoi
Et pendant ce temps-là
Moi, je pense au lit qui m’attend chez moi
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
Et comme ça jusqu’à midi
Y a une certaine insouciance
Faut pas trop se surmener
Faut se mettre dans l’ambiance
Faut calculer ses efforts
Le boulot, c’est comme le sport
La pendule n’en finit pas
De faire le tour du cadran
Ce jour-là, on est un peu impatients
Tout est bon quand ça ne va pas
Pour se donner des bras
Et moi, je pense au lit qui m’attend chez moi
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
Et quand vient l’après-midi
On retrouve la cadence
Le soir venu chacun prend
Son métro, sa bicyclette
Mais pas question d’apéro
Sur le chemin du retour
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
On se remet le lundi
Des fatigues de l’amour
On se remet le lundi
Des fatigues de l’amour
Des fatigues du dimanche
On est bien trop endormis
Pour se retrousser les manches
Le temps de boire un café
De fumer une cigarette
Et nous voilà repartis
Doucement jusqu’à samedi
Le tiercé qu’on a loupé
Le lundi, ça passe pas
On en parle pour oublier qu’on est là
On cause de n’importe quoi
Et pendant ce temps-là
Moi, je pense au lit qui m’attend chez moi
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
Et comme ça jusqu’à midi
Y a une certaine insouciance
Faut pas trop se surmener
Faut se mettre dans l’ambiance
Faut calculer ses efforts
Le boulot, c’est comme le sport
La pendule n’en finit pas
De faire le tour du cadran
Ce jour-là, on est un peu impatients
Tout est bon quand ça ne va pas
Pour se donner des bras
Et moi, je pense au lit qui m’attend chez moi
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
Et quand vient l’après-midi
On retrouve la cadence
Le soir venu chacun prend
Son métro, sa bicyclette
Mais pas question d’apéro
Sur le chemin du retour
On se remet le lundi
Des fatigues du dimanche
On se remet le lundi
Des fatigues de l’amour
On se remet le lundi
Des fatigues de l’amour