Les paroles de la chanson
« Les enfants païens »
Mano Solo
Les enfants païens c’est comme la pluie
Ca coule sur toi puis ça s’en va
Ca laisse juste des traînées blanches sur la crasse de ta peau
Comme des ravins blancs si on creuse ben c’est rouge
Les enfants païens ça collent au pied, ça collent au coeur
Ca se cholestérol, ça puent
Ca moisit dans leur bouche de ne pas sourire
Comme des cafards, t’en écrasent un t’en a dix qui renaissent
La nuit résonne des pas de leur armée
Les enfants païens avec six pattes
Pour pouvoir en perdre en chemin
Articulation par articulation
Les enfants païens rentrent dans la nuit de Rome
Sur tous les chemins qui mènent aux hommes
Par colonne ils se sont marchés sur les talons
C’est toute l’Europe qui résonne de leur musique
Quand bientôt leurs excréments
Claudiquent entre leurs doigts de pieds sur un chemin de purin
Des kilomètres de fanges se voient naître
Abandonnées par les anges et surtout par leur maîtres
Elles resteront là pour guider l’histoire
Des voix sans voix dures et bien sèches
Des éperons magnifiques polis par les pas
Des millions de pèlerins qui sont devenus
Les bases du monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain
C’est la tunique des ensanglantés
Des ensanglanteurs du monde entier
Plus rien ne se (?) ils ne virent même plus leur cul
Les enfants païens deviennent des gens comme moi
Des hommes en guerre des armes plein les bras
En guerre contre dieu qui n’a jamais cru en eux
Chaque mort est en enfant violé
Qui aura laissé là pour toujours son petit tas d’amour
Les enfants païens c’est comme la pluie
Ca coule sur toi puis ça s’en va
Ca laisse juste des traînées blanches sur la crasse de ta peau
Comme des ravins blancs si on creuse ben c’est rouge
Ca coule sur toi puis ça s’en va
Ca laisse juste des traînées blanches sur la crasse de ta peau
Comme des ravins blancs si on creuse ben c’est rouge
Les enfants païens ça collent au pied, ça collent au coeur
Ca se cholestérol, ça puent
Ca moisit dans leur bouche de ne pas sourire
Comme des cafards, t’en écrasent un t’en a dix qui renaissent
La nuit résonne des pas de leur armée
Les enfants païens avec six pattes
Pour pouvoir en perdre en chemin
Articulation par articulation
Les enfants païens rentrent dans la nuit de Rome
Sur tous les chemins qui mènent aux hommes
Par colonne ils se sont marchés sur les talons
C’est toute l’Europe qui résonne de leur musique
Quand bientôt leurs excréments
Claudiquent entre leurs doigts de pieds sur un chemin de purin
Des kilomètres de fanges se voient naître
Abandonnées par les anges et surtout par leur maîtres
Elles resteront là pour guider l’histoire
Des voix sans voix dures et bien sèches
Des éperons magnifiques polis par les pas
Des millions de pèlerins qui sont devenus
Les bases du monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain
C’est la tunique des ensanglantés
Des ensanglanteurs du monde entier
Plus rien ne se (?) ils ne virent même plus leur cul
Les enfants païens deviennent des gens comme moi
Des hommes en guerre des armes plein les bras
En guerre contre dieu qui n’a jamais cru en eux
Chaque mort est en enfant violé
Qui aura laissé là pour toujours son petit tas d’amour
Les enfants païens c’est comme la pluie
Ca coule sur toi puis ça s’en va
Ca laisse juste des traînées blanches sur la crasse de ta peau
Comme des ravins blancs si on creuse ben c’est rouge