Les paroles de la chanson
« Les enfants chantent toujours »
Michel Berger
Enfants de Tambacounda
de la Rossina
ou d’ailleurs
Enfants comme déposés là
Sous tous les grands froids
Sous les grandes chaleurs
Comme étonnés perdus volés
Par l’absurdité du danger
D’une vie qu’ils n’ont pas demandée
Ils chantent malgré nous
Ils chantent malgré tous ceux qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours
Enfants de Léninakan,
de Kalimatan
ou d’ailleurs
Elevés en dehors du temps
Elevés dans le sang et la ferveur
Comme étonnés dans leurs regards
Par l’absurdité du hasard
Qui les oublie, là, quelque part
Ils chantent malgré nous
Ils chantent malgré tous ceux qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours...
Qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours...
de la Rossina
ou d’ailleurs
Enfants comme déposés là
Sous tous les grands froids
Sous les grandes chaleurs
Comme étonnés perdus volés
Par l’absurdité du danger
D’une vie qu’ils n’ont pas demandée
Ils chantent malgré nous
Ils chantent malgré tous ceux qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours
Enfants de Léninakan,
de Kalimatan
ou d’ailleurs
Elevés en dehors du temps
Elevés dans le sang et la ferveur
Comme étonnés dans leurs regards
Par l’absurdité du hasard
Qui les oublie, là, quelque part
Ils chantent malgré nous
Ils chantent malgré tous ceux qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours...
Qui acceptent tout
Qui acceptent de vivre sans amour
Mais si les hommes se taisent
Les enfants chantent toujours...