Les paroles de la chanson
« Les éléphants »
Michel Laurent
De baobab en baobab
De sycomore en sycomore
Des hommes sont venus du Nord
Avec leurs machines de fer
Caterpillar et bulldozers
A coups de haches et à coups de scies
Ils ont abattu les géants
Souillé, pourri l’eau des rivières
Les singes bleus se sont enfuis
Et moi j’entends, j’attends, j’ai peur
Les éléphants, les éléphants {x2}
De bulldozer en bulldozer
De Caterpillar en Caterpillar
Ils éventrent des machines
Ils renversent et piétinent
La terre tremble de colère
Tant pis s’ils écrasent les fleurs
Tant pis si les oiseaux ont peur
Tant mieux s’ils viennent dans ma ville
Détruire notre amour imbécile
Ils vont me libérer le cœur
Les éléphants, les éléphants
De baobab en baobab
De sycomore en sycomore
Puisqu’il n’y a plus rien à faire
Dans cette ville où tout est mort
Je veux courir vers la rivière
Je veux vivre dans la lumière
Et, un peu, sauver la Terre
Les éléphants, les éléphants {x2}
De sycomore en sycomore
Des hommes sont venus du Nord
Avec leurs machines de fer
Caterpillar et bulldozers
A coups de haches et à coups de scies
Ils ont abattu les géants
Souillé, pourri l’eau des rivières
Les singes bleus se sont enfuis
Et moi j’entends, j’attends, j’ai peur
Les éléphants, les éléphants {x2}
De bulldozer en bulldozer
De Caterpillar en Caterpillar
Ils éventrent des machines
Ils renversent et piétinent
La terre tremble de colère
Tant pis s’ils écrasent les fleurs
Tant pis si les oiseaux ont peur
Tant mieux s’ils viennent dans ma ville
Détruire notre amour imbécile
Ils vont me libérer le cœur
Les éléphants, les éléphants
De baobab en baobab
De sycomore en sycomore
Puisqu’il n’y a plus rien à faire
Dans cette ville où tout est mort
Je veux courir vers la rivière
Je veux vivre dans la lumière
Et, un peu, sauver la Terre
Les éléphants, les éléphants {x2}