Les paroles de la chanson
« Les dunes blanches »
Marc Lavoine
Sur les dunes blanches, je dérive, je fais des rêves entre tes hanches
Sur les dunes blanches, je vois tes seins, je les dessine, je me déhanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, le lundi je m’allonge jusqu’au dimanche
Sur les dunes blanches, la lumière passe, entre nos bras comme dans des branches
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, je divague, les ombres dansent, les arbres penchent
Sur les dunes blanches, on a soif, on se boit et on s’étanche, on s’étanche
Sur les dunes blanches, pas de regret, pas de remords et sans revanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, je m’envole sur ta peau folle puis je m’épanche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Sur les dunes blanches, on se couche, on se cache, on s’avalanche
Sur les dunes blanches, entre sable et ciel, c’est l’amour qui tranche
Sur les dunes blanches, on se touche tant qu’on s’attache, on se déclenche
Sur les dunes blanches, je vois tes seins, je les dessine, je me déhanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, le lundi je m’allonge jusqu’au dimanche
Sur les dunes blanches, la lumière passe, entre nos bras comme dans des branches
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, je divague, les ombres dansent, les arbres penchent
Sur les dunes blanches, on a soif, on se boit et on s’étanche, on s’étanche
Sur les dunes blanches, pas de regret, pas de remords et sans revanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Sur les dunes blanches, je m’envole sur ta peau folle puis je m’épanche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, si tu savais comme je flanche
Il suffit d’y croire et l’on peut s’y voir, ma vie fait la planche
Sur les dunes blanches, on se tient par la taille, par la manche
Sur les dunes blanches, on se couche, on se cache, on s’avalanche
Sur les dunes blanches, entre sable et ciel, c’est l’amour qui tranche
Sur les dunes blanches, on se touche tant qu’on s’attache, on se déclenche