Les paroles de la chanson
« Les deux quais »
Claude Besson
t
LES DEUX QUAIS
COUPLET 1
Il y avait dans Paris
Deux longs quais de flânerie
Annexe de mon école
L’un vivait de poésie
L’autre était imagerie
Tous deux vivaient à la colle
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le pont d’Arcole.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule,coule,coule.
Et moi j’étais tout petit
Emule des plus nantis
D’applaudissements de gloire
Le verbe haut comme un fruit
L’artiste sculptait ma vie
De ses huiles,de sa guitare
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le Pont des Arts
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule.
REFRAIN
Une larme qui coule, coule, coule
Une larme qui saoule, saoule, saoule
Comme saoule la foule
Comme la musique saoule
C’était le temps des"Babas cools"
Une larme qui coule, coule, coule
Une larme qui saoule, saoule,saoule
Comme saoule la foule
C’était le temps des"Babas cools".
COUPLET 2
Tachés de marques d’envies
Le pinceau leste et précis
Les enfants de Michel-Ange
Etalaient jusqu’à la nuit
Devant les gamins ravis
Leurs indigos,leurs oranges
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le Pont au Change.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule.
REFRAIN
COUPLET 4
Mais les trompettes du temps
S’acharnent depuis longtemps
Sur mes secrets de bohème
Et je m’en vais en chantant
Offrir mes amours d’antan
A chaque planche qui traîne
Si tu t’en souviens la Seine
Coule encor’ comme du Verlaine
Sous le Pont Neuf qui saigne.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule
REFRAIN
LES DEUX QUAIS
COUPLET 1
Il y avait dans Paris
Deux longs quais de flânerie
Annexe de mon école
L’un vivait de poésie
L’autre était imagerie
Tous deux vivaient à la colle
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le pont d’Arcole.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule,coule,coule.
Et moi j’étais tout petit
Emule des plus nantis
D’applaudissements de gloire
Le verbe haut comme un fruit
L’artiste sculptait ma vie
De ses huiles,de sa guitare
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le Pont des Arts
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule.
REFRAIN
Une larme qui coule, coule, coule
Une larme qui saoule, saoule, saoule
Comme saoule la foule
Comme la musique saoule
C’était le temps des"Babas cools"
Une larme qui coule, coule, coule
Une larme qui saoule, saoule,saoule
Comme saoule la foule
C’était le temps des"Babas cools".
COUPLET 2
Tachés de marques d’envies
Le pinceau leste et précis
Les enfants de Michel-Ange
Etalaient jusqu’à la nuit
Devant les gamins ravis
Leurs indigos,leurs oranges
Si tu t’en souviens la Seine
Tu coulais comme du Verlaine
En passant le Pont au Change.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule.
REFRAIN
COUPLET 4
Mais les trompettes du temps
S’acharnent depuis longtemps
Sur mes secrets de bohème
Et je m’en vais en chantant
Offrir mes amours d’antan
A chaque planche qui traîne
Si tu t’en souviens la Seine
Coule encor’ comme du Verlaine
Sous le Pont Neuf qui saigne.
Quand ton souvenir me saoule
J’ai une larme qui coule, coule, coule
REFRAIN