Les paroles de la chanson
« Les dernières paroles du christ »
Georgette Plana
Le Christ était cloué sur sa croix d’infamie
De ses flancs déchirés le sang coulait à flot
Des larmes sillonnaient sa figure blêmie
Et sa voix douce encore disait à ses bourreaux
"J’avais semé l’amour, j’ai récolté vos haines
J’ai jeté la lumière en votre obscurité
Vous m’avez sans pitié chargé de lourdes chaînes
Et pourtant je venais prêcher la liberté
Vous m’avez sans pitié chargé de lourdes chaînes
Et pourtant je venais prêcher la liberté
J’ai dit "Dieu te pardonne" à la femme adultère
J’ai fait de Madeleine une sainte d’amour
À l’esclave j’ai dit ’’relève-toi, mon frère
Car pour toi le soleil brillera quelques jours’’
Lorsque vous vous traîniez, rampants au pied du trône
J’ai parlé, seul, au nom de votre humanité
Vous m’avez accusé de vouloir la couronne
Et pourtant j’apportais chez vous l’égalité
Vous m’avez accusé de vouloir la couronne
Et pourtant j’apportais chez vous l’égalité
J’ai toujours soutenu la faiblesse qui tombe
J’ai toujours partagé vos sincères douleurs
Au berceau j’ai souri, j’ai prié sur la tombe
Autant que je l’ai pu, j’ai séché tous vos pleurs
Aujourd’hui même encore, à cette heure dernière
Où je suis face à face avec l’Eternité
Du haut de cette croix, je bénis votre terre
Et j’appelle le jour de la fraternité
Du haut de cette croix, je bénis votre terre
Et j’appelle le jour de la fraternité"
De ses flancs déchirés le sang coulait à flot
Des larmes sillonnaient sa figure blêmie
Et sa voix douce encore disait à ses bourreaux
"J’avais semé l’amour, j’ai récolté vos haines
J’ai jeté la lumière en votre obscurité
Vous m’avez sans pitié chargé de lourdes chaînes
Et pourtant je venais prêcher la liberté
Vous m’avez sans pitié chargé de lourdes chaînes
Et pourtant je venais prêcher la liberté
J’ai dit "Dieu te pardonne" à la femme adultère
J’ai fait de Madeleine une sainte d’amour
À l’esclave j’ai dit ’’relève-toi, mon frère
Car pour toi le soleil brillera quelques jours’’
Lorsque vous vous traîniez, rampants au pied du trône
J’ai parlé, seul, au nom de votre humanité
Vous m’avez accusé de vouloir la couronne
Et pourtant j’apportais chez vous l’égalité
Vous m’avez accusé de vouloir la couronne
Et pourtant j’apportais chez vous l’égalité
J’ai toujours soutenu la faiblesse qui tombe
J’ai toujours partagé vos sincères douleurs
Au berceau j’ai souri, j’ai prié sur la tombe
Autant que je l’ai pu, j’ai séché tous vos pleurs
Aujourd’hui même encore, à cette heure dernière
Où je suis face à face avec l’Eternité
Du haut de cette croix, je bénis votre terre
Et j’appelle le jour de la fraternité
Du haut de cette croix, je bénis votre terre
Et j’appelle le jour de la fraternité"