Les paroles de la chanson
« Les dames de gauche »
Sarclo
Puisque la bouche est gâchée
Il suffit pour vos assiettes
D’une usine de viande hachée
Aux trois coins de la planète
La paroisse est cathodique
Et la goutte de sang choque
Les petites catholiques
Les amis des bébés phoques
C’est le regard des cloportes
De ceux qui n’auront pas joui
Le renfermé qui l’emporte
Le non plus fort que le oui
{Refrain:}
Les jeunes cadres ont les chocottes
Ils travaillent tard dans la nuit
Et les dames de gauche tricotent
Pour les bébés sahraouis
L’argent, c’est pas difficile
Il suffit d’y penser tout le temps
Ça transforme en crocodile
Et ça tue quelques enfants
Pour ceux qui sont sans-papiers
On a trouvé des cartons
Pleurer n’est pas un métier
Et le vin ne rend pas mignon
{au Refrain}
Le boss n’a aucune envie
D’en finir avec l’angoisse
D’offrir un sens à la vie
De faire partager la poisse
Le gars connaît son boulot
Et sans un remerciement
Surfe sur les plans sociaux
Les vagues de licenciements
{au Refrain}
C’est le regard des cloportes
De ceux qui n’auront pas joui
Le renfermé qui l’emporte
Le non plus fort que le oui
Il suffit pour vos assiettes
D’une usine de viande hachée
Aux trois coins de la planète
La paroisse est cathodique
Et la goutte de sang choque
Les petites catholiques
Les amis des bébés phoques
C’est le regard des cloportes
De ceux qui n’auront pas joui
Le renfermé qui l’emporte
Le non plus fort que le oui
{Refrain:}
Les jeunes cadres ont les chocottes
Ils travaillent tard dans la nuit
Et les dames de gauche tricotent
Pour les bébés sahraouis
L’argent, c’est pas difficile
Il suffit d’y penser tout le temps
Ça transforme en crocodile
Et ça tue quelques enfants
Pour ceux qui sont sans-papiers
On a trouvé des cartons
Pleurer n’est pas un métier
Et le vin ne rend pas mignon
{au Refrain}
Le boss n’a aucune envie
D’en finir avec l’angoisse
D’offrir un sens à la vie
De faire partager la poisse
Le gars connaît son boulot
Et sans un remerciement
Surfe sur les plans sociaux
Les vagues de licenciements
{au Refrain}
C’est le regard des cloportes
De ceux qui n’auront pas joui
Le renfermé qui l’emporte
Le non plus fort que le oui