Les paroles de la chanson
« Les cools et les cons »
Lynda Lemay
Y en a toujours un plus coincé qu’ ses compères
Un moins souriant, plus zélé, plus sévère
Y en a toujours un que l’ pouvoir, y s’en sert
Pour faire chier les gens, pour l’ plaisir de déplaire
Y en a toujours un, tous métiers confondus
Un moins conciliant pour une p’tite permission
Y en a toujours un plus serré du p’tit cul
Qui s’ veut important, qui veut jouer au patron
Toujours un, quand on pose une question
C’est jamais oui, c’est radicalement non
Toujours un, et parfois c’est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays
Toujours un, à l’école ou ailleurs
Un p’tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l’air d’ nous aimer
Qui veut bien qu’on lui lèche les pieds
Y en a toujours un plus vilain, plus coriace
Même si on fait rien, le crétin, y menace
Qu’y soit douanier ou chef de cabine
Ou bien flic, on en trouve toujours un qui s’obstine
Un prof à qui on d’mande d’aller aux toilettes
Qui nous dit d’attendre en espérant qu’ ça coule
Devant les copains qui vont s’ payer not’ tête
Pour le restant de nos vies, c’est pas cool, c’est pas cool!
Toujours un, quand on pose une question
C’est jamais oui, c’est radicalement non
Toujours un, et parfois c’est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays
Toujours un, à l’école ou ailleurs
Un p’tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l’air d’ nous aimer
Qui attend rien qu’on lui lèche les pieds
Y en a toujours un plus borné, plus raciste
Un qui nous poursuit même quand y décède
Qu’on s’ sent obligé d’assister au service
D’embrasser sa femme qui est moins triste que laide
Y en a toujours un qui appelle la police
Dès qu’on touche à un petit ch’veu d’ sa haie d’ cèdres
Toujours une vendeuse ou une réceptionniste
Qui pousse un soupir quand on lui d’mande de l’aide
Toujours un champion d’équitation
À cheval sur ses petits principes
Toujours un qui passe pas le ballon
Un p’tit con qui joue pas pour l’équipe
Heureusement qu’en fouillant les foules
Y a bien moins de cons que de cools!
Heureusement qu’y en a qui ont des couilles
Du jugement et d’ sacrées bonnes bouilles!
Ceux qui vont nous dire que l’on a du talent
Qu’on a de l’avenir, heureusement qu’y a les grands
Les vrais messieurs qui se prennent pas pour des rois
Qui s’ prennent pour eux et on les aime pour ça
Par chance qu’y a tous ceux qui nous font des sourires
Quand on frappe un creux mais qu’on pourrait faire pire
Ceux qui tendent la main sans rien attendre en r’tour
Par chance y a les potes et par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! L’amour
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Un moins souriant, plus zélé, plus sévère
Y en a toujours un que l’ pouvoir, y s’en sert
Pour faire chier les gens, pour l’ plaisir de déplaire
Y en a toujours un, tous métiers confondus
Un moins conciliant pour une p’tite permission
Y en a toujours un plus serré du p’tit cul
Qui s’ veut important, qui veut jouer au patron
Toujours un, quand on pose une question
C’est jamais oui, c’est radicalement non
Toujours un, et parfois c’est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays
Toujours un, à l’école ou ailleurs
Un p’tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l’air d’ nous aimer
Qui veut bien qu’on lui lèche les pieds
Y en a toujours un plus vilain, plus coriace
Même si on fait rien, le crétin, y menace
Qu’y soit douanier ou chef de cabine
Ou bien flic, on en trouve toujours un qui s’obstine
Un prof à qui on d’mande d’aller aux toilettes
Qui nous dit d’attendre en espérant qu’ ça coule
Devant les copains qui vont s’ payer not’ tête
Pour le restant de nos vies, c’est pas cool, c’est pas cool!
Toujours un, quand on pose une question
C’est jamais oui, c’est radicalement non
Toujours un, et parfois c’est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays
Toujours un, à l’école ou ailleurs
Un p’tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l’air d’ nous aimer
Qui attend rien qu’on lui lèche les pieds
Y en a toujours un plus borné, plus raciste
Un qui nous poursuit même quand y décède
Qu’on s’ sent obligé d’assister au service
D’embrasser sa femme qui est moins triste que laide
Y en a toujours un qui appelle la police
Dès qu’on touche à un petit ch’veu d’ sa haie d’ cèdres
Toujours une vendeuse ou une réceptionniste
Qui pousse un soupir quand on lui d’mande de l’aide
Toujours un champion d’équitation
À cheval sur ses petits principes
Toujours un qui passe pas le ballon
Un p’tit con qui joue pas pour l’équipe
Heureusement qu’en fouillant les foules
Y a bien moins de cons que de cools!
Heureusement qu’y en a qui ont des couilles
Du jugement et d’ sacrées bonnes bouilles!
Ceux qui vont nous dire que l’on a du talent
Qu’on a de l’avenir, heureusement qu’y a les grands
Les vrais messieurs qui se prennent pas pour des rois
Qui s’ prennent pour eux et on les aime pour ça
Par chance qu’y a tous ceux qui nous font des sourires
Quand on frappe un creux mais qu’on pourrait faire pire
Ceux qui tendent la main sans rien attendre en r’tour
Par chance y a les potes et par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! L’amour
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!
Par chance, par chance, par chance
Qu’y a l’amour! Oui l’amour!