Les paroles de la chanson
« Les cloches de lisbonne »
Luis Mariano
Les cloches de Lisbonne
Au matin, quand c’est dimanche
Se souviennent encore
En voyant les voiles blanches
Qu’elles sonnaient autrefois
Quand un marin du roi
Quittait la rade immense
Et que, les larmes aux yeux,
Il entendait l’adieu
Des cloches de Lisbonne
Les barques dans le port
Font des rêves de caravelles
Un jeune matelot
Les yeux clos
Sourit aux anges
Il voit le drapeau d’or
Des vieux conquistadors
Le frôler de son aile
La grand-voile frissonne
Et c’est pour lui que sonnent
Les cloches de Lisbonne
Les pigeons bleus des églises
Nichés au creux des clochers
Soudain se sont réveillés
Et vont tournoyer
Dans les pierres grises
Sous le ciel clair et tranquille
D’un beau printemps portugais
La chanson des campaniles
Montant sur la ville
Fait comme un bouquet
Les cloches de Lisbonne
Au matin, quand c’est dimanche
Se souviennent encore
En voyant les voiles blanches
Qu’elles sonnaient autrefois
Quand un marin du roi
Rapportait dans ses cales
Des horizons nouveaux
Salués par l’écho
Des cloches de Lisbonne
Le jeune matelot,
Les yeux clos,
Sourit encore
Il voit le roi, la cour,
Les velours
Multicolores
Une infante aux yeux noirs
Lui paye d’un regard
Les mondes qu’il apporte
Sa tête tourbillonne
Et c’est pour lui que sonnent
Les cloches de Lisbonne!
Au matin, quand c’est dimanche
Se souviennent encore
En voyant les voiles blanches
Qu’elles sonnaient autrefois
Quand un marin du roi
Quittait la rade immense
Et que, les larmes aux yeux,
Il entendait l’adieu
Des cloches de Lisbonne
Les barques dans le port
Font des rêves de caravelles
Un jeune matelot
Les yeux clos
Sourit aux anges
Il voit le drapeau d’or
Des vieux conquistadors
Le frôler de son aile
La grand-voile frissonne
Et c’est pour lui que sonnent
Les cloches de Lisbonne
Les pigeons bleus des églises
Nichés au creux des clochers
Soudain se sont réveillés
Et vont tournoyer
Dans les pierres grises
Sous le ciel clair et tranquille
D’un beau printemps portugais
La chanson des campaniles
Montant sur la ville
Fait comme un bouquet
Les cloches de Lisbonne
Au matin, quand c’est dimanche
Se souviennent encore
En voyant les voiles blanches
Qu’elles sonnaient autrefois
Quand un marin du roi
Rapportait dans ses cales
Des horizons nouveaux
Salués par l’écho
Des cloches de Lisbonne
Le jeune matelot,
Les yeux clos,
Sourit encore
Il voit le roi, la cour,
Les velours
Multicolores
Une infante aux yeux noirs
Lui paye d’un regard
Les mondes qu’il apporte
Sa tête tourbillonne
Et c’est pour lui que sonnent
Les cloches de Lisbonne!