Les paroles de la chanson
« Les chevaux d'aubervilliers »
Mano Solo
Les chevaux d’Aubervilliers ont rendu l’âme cavalière
Les chevaux juste là derrière le cimetière
Répondent à mes prières
Un cabanon au milieu du campement
Juste comme une maison d’enfants
Résonnent d’une course nos coeur battant
Et dans un galop apaisant
Ondule la marche des sentiments
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle
La pluie sur le haut-vent cataclope quand à l’abri
On se surprend à aimer la vie
Les chevaux d’Aubervilliers
Ne battent pas leurs fers sur le pavé
Mais forgent en moi une vérité
C’est que la chance ne m’a jamais quittée
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle
Les cris d’hier sont la crinière
A laquelle s’accroche une cuillère en or
Les chevaux d’Aubervilliers galopent dans le coeur
Comme une machine à cheval vapeur
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle
Les chevaux juste là derrière le cimetière
Répondent à mes prières
Un cabanon au milieu du campement
Juste comme une maison d’enfants
Résonnent d’une course nos coeur battant
Et dans un galop apaisant
Ondule la marche des sentiments
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle
La pluie sur le haut-vent cataclope quand à l’abri
On se surprend à aimer la vie
Les chevaux d’Aubervilliers
Ne battent pas leurs fers sur le pavé
Mais forgent en moi une vérité
C’est que la chance ne m’a jamais quittée
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle
Les cris d’hier sont la crinière
A laquelle s’accroche une cuillère en or
Les chevaux d’Aubervilliers galopent dans le coeur
Comme une machine à cheval vapeur
Et si la caravane s’en va, je m’en vais avec elle
Et c’est mon chien qui aboie, car lui aussi il la trouve si belle