Les paroles de la chanson
« Les chemins de la liberté »
Yves Duteil
{Refrain:}
Il nous a montré le chemin
Qui montait jusqu’à la maison,
Dans le brouillard, dans le crachin.
On se serait perdu, sinon.
Il avait l’air heureux, serein,
Et quand on est entré chez lui,
La cuisine avait des parfums,
Le couvert était déjà mis.
Le sourire lui montait du cœur.
Son regard avalait nos yeux
Et quelquefois, au fil des heures,
Il était grave et silencieux.
Tout était vraiment comme avant,
Et pourtant rien n’était pareil.
Le lendemain, c’était beau temps,
Couleurs d’automne et plein soleil.
On a marché dans les collines
Et couru dans la boue des champs
En s’accrochant dans les épines,
Comme feraient de petits enfants.
En venant, j’étais un peu triste
Et le cœur me serrait un peu.
Il y a des jours où tout résiste.
On a du mal à être heureux.
Lui venait de finir sa peine
Où les mois ressemblaient aux années.
Il voulait voir couler la Seine,
Écouter les oiseaux chanter
Et c’est lui qui sans le savoir,
Et c’est lui qui sans s’en douter,
M’a fait redécouvrir l’espoir,
Les chemins de la liberté.
Puis on a repris nos bagages
Avec l’envie de revenir,
Remplir nos yeux de son visage
Et nos cœurs de son souvenir,
Et c’est lui qui, sans le savoir,
Et c’est lui qui, sans s’en douter,
M’a fait redécouvrir l’espoir,
Les chemins de la liberté.
Il nous a montré le chemin
Qui montait jusqu’à la maison,
Dans le brouillard, dans le crachin.
On se serait perdu, sinon.
Il avait l’air heureux, serein,
Et quand on est entré chez lui,
La cuisine avait des parfums,
Le couvert était déjà mis.
Le sourire lui montait du cœur.
Son regard avalait nos yeux
Et quelquefois, au fil des heures,
Il était grave et silencieux.
Tout était vraiment comme avant,
Et pourtant rien n’était pareil.
Le lendemain, c’était beau temps,
Couleurs d’automne et plein soleil.
On a marché dans les collines
Et couru dans la boue des champs
En s’accrochant dans les épines,
Comme feraient de petits enfants.
En venant, j’étais un peu triste
Et le cœur me serrait un peu.
Il y a des jours où tout résiste.
On a du mal à être heureux.
Lui venait de finir sa peine
Où les mois ressemblaient aux années.
Il voulait voir couler la Seine,
Écouter les oiseaux chanter
Et c’est lui qui sans le savoir,
Et c’est lui qui sans s’en douter,
M’a fait redécouvrir l’espoir,
Les chemins de la liberté.
Puis on a repris nos bagages
Avec l’envie de revenir,
Remplir nos yeux de son visage
Et nos cœurs de son souvenir,
Et c’est lui qui, sans le savoir,
Et c’est lui qui, sans s’en douter,
M’a fait redécouvrir l’espoir,
Les chemins de la liberté.