Les paroles de la chanson
« Les chansons réalistes »
Jean Arnulf
Les chansons réalistes
Parlent d’amours perdues
Qui jamais ne reviennent
Le brouillard sur la Seine
D’étranges inconnues
De pianos mécaniques
De foulards en satin
De matins nostalgiques
Et d’océans lointains
D’une larme tombée
Sur la page d’un livre
D’un beau matelot ivre
D’un chagrin oublié
De pluie sur une gare
De deux corps enlacés
De deux filles aux yeux bizarres
Qui regardent le quai
C’est pas la chanson que j’aimais
C’était les yeux de la chanteuse
C’était ses façons anguleuses
Et ses mains pâles qui parlaient
Les chansons réalistes
Chantent un nouvel amour
Qui bientôt se termine
A l’heure des usines
Quand reparaît le jour
Un amour en voyage
Qui vous prend par la main
Et refait ses bagages
Dans le petit matin
Un amour qui vous mène
En bateau vers la rive
Alors qu’à la dérive
On y croyait quand même
Et la pluie sur la gare
Le brouillard sur les quais
Vous laissent un goût bizarre
Qui ressemble au regret
C’est la chanteuse que j’ai connue
C’est la chanson que je regrette
Car la fille était grande et bête
Et chantait sur un air connu
La la la...
Parlent d’amours perdues
Qui jamais ne reviennent
Le brouillard sur la Seine
D’étranges inconnues
De pianos mécaniques
De foulards en satin
De matins nostalgiques
Et d’océans lointains
D’une larme tombée
Sur la page d’un livre
D’un beau matelot ivre
D’un chagrin oublié
De pluie sur une gare
De deux corps enlacés
De deux filles aux yeux bizarres
Qui regardent le quai
C’est pas la chanson que j’aimais
C’était les yeux de la chanteuse
C’était ses façons anguleuses
Et ses mains pâles qui parlaient
Les chansons réalistes
Chantent un nouvel amour
Qui bientôt se termine
A l’heure des usines
Quand reparaît le jour
Un amour en voyage
Qui vous prend par la main
Et refait ses bagages
Dans le petit matin
Un amour qui vous mène
En bateau vers la rive
Alors qu’à la dérive
On y croyait quand même
Et la pluie sur la gare
Le brouillard sur les quais
Vous laissent un goût bizarre
Qui ressemble au regret
C’est la chanteuse que j’ai connue
C’est la chanson que je regrette
Car la fille était grande et bête
Et chantait sur un air connu
La la la...