Les paroles de la chanson
« Les cerfs volants »
Benjamin Biolay
A mesure que le temps passe
Je mesure le temps qui passe
Et tandis que l’eau s’étend
Jusqu’à l’autre bout de l’étang
Je regarde l’aube claire
S’allonger sur 1es conifères
A l’aulne à l’orée du jour
Le soleil sera de retour
En dépit des années noires
Des années folles
Des heures de gloire
A la lisière du torrent
J’irai m’asseoir sur un banc
On ira faire un tour de barque
On ira déjeuner au parc
On s’embrassera dans le cou
Il y aura tout autour de nous
Les cerfs-volants qui planent
Quelques amants qui flânent
Un petit vent
Les parasols
Plantés dans 1e sol
I1 y a longtemps.
Je mesure le temps qui passe
Et tandis que l’eau s’étend
Jusqu’à l’autre bout de l’étang
Je regarde l’aube claire
S’allonger sur 1es conifères
A l’aulne à l’orée du jour
Le soleil sera de retour
En dépit des années noires
Des années folles
Des heures de gloire
A la lisière du torrent
J’irai m’asseoir sur un banc
On ira faire un tour de barque
On ira déjeuner au parc
On s’embrassera dans le cou
Il y aura tout autour de nous
Les cerfs-volants qui planent
Quelques amants qui flânent
Un petit vent
Les parasols
Plantés dans 1e sol
I1 y a longtemps.