Les paroles de la chanson
« Les bateaux du courrier »
Michel Sardou
Elle attendait, le cœur serré,
Le dernier bateau du courrier.
La mer n’était pas souvent d’huile,
Entre Molène et Belle-lle.
Les cheveux noués dans un foulard,
Elle attendait, au pied du phare,
Un bruit de moteur ou de voile,
Du matin jusqu’aux étoiles.
Elle entendait, au fond du vent,
Comme un espoir du continent.
Avec les marées de l’automne,
C’est fou ce que le cœur frissonne,
C’est fou ce qu’une femme entend.
Elle attendait, le cœur serré,
Le dernier bateau du courrier.
La mer lui renvoyait ses peines
Dans la chanson des sirènes.
Elle entendait, au fond du temps,
Comme un appel de l’Océan.
C’est pas d’hier qu’avec l’automne,
Les marées lassent le cœur des hommes.
C’est fou ce qu’une femme entend.
Le dernier bateau du courrier.
La mer n’était pas souvent d’huile,
Entre Molène et Belle-lle.
Les cheveux noués dans un foulard,
Elle attendait, au pied du phare,
Un bruit de moteur ou de voile,
Du matin jusqu’aux étoiles.
Elle entendait, au fond du vent,
Comme un espoir du continent.
Avec les marées de l’automne,
C’est fou ce que le cœur frissonne,
C’est fou ce qu’une femme entend.
Elle attendait, le cœur serré,
Le dernier bateau du courrier.
La mer lui renvoyait ses peines
Dans la chanson des sirènes.
Elle entendait, au fond du temps,
Comme un appel de l’Océan.
C’est pas d’hier qu’avec l’automne,
Les marées lassent le cœur des hommes.
C’est fou ce qu’une femme entend.