Les paroles de la chanson
« Les appareuses trompences »
Boulevard Des Airs
{Les appareuses trompences}
Meurtri, je suis meurtri
Dans le moule, où l’on m’a mis
Je vois qui rôde qui me guette
Les gardiens de ce qu’il faut être.
Aux prêcheurs de la tolérance,
Aux moralisateurs de conscience,
J’aimerais rappeler quelques mots
Qu’on entend sitôt qu’on est minot,
L’habit ne fait pas le moine
Et c’est tout nu que je me pavane
[Refrain]
Ce que tu vois n’est pas ce que je suis,
Ce que tu penses, n’est pas l’ordre établi,
Ce que je dis, n’est pas ce que je pense,
Les appareuses trompences
Ce que tu vois n’est pas ce que je suis,
Ce que tu penses, n’est pas l’ordre établi,
Ce que je dis, n’est pas ce que je pense
Les appareuses trompences
Les lignes, les bornes, les barrières
Ont toujours un air pénitencier
Quand c’est l’institution qui te cloisonne
Ces pensées qui libèrent les hommes
À vouloir trop suivre la dictée
On devient des pantins ficelés
J’ai pour ma part toujours voulu
Voir et découvrir un peu plus
Mais à l’instar des grands discours,
La liberté d’étouffer toujours
[Refrain]
Que ce soit chemise ou poème
Je maquille le monde et moi-même
Jeu de mots, jeu de couleurs
Donner des roses pour des pleurs
Que tu sois d’ici ou là-bas
Rien n’est plus fort que ce que tu vois
Un inconscient droit de recours
Ou toutes les beautés que tu découvres
Les yeux qui voient le vrai de nous
Sont l’apanage des sages et des fous
J’ai tracé dans la pierre, sur ma peau
À l’encre ou au couteau,
Quelque chose d’insolence,
Une forme d’indépendance
[Refrain]
Les appareuses trompences,
Les appareuses trompences,
Les appareuses trompences!
J’ai tracé sur la pierre, dans ma peau
Les appareuses trompences.
Meurtri, je suis meurtri
Dans le moule, où l’on m’a mis
Je vois qui rôde qui me guette
Les gardiens de ce qu’il faut être.
Aux prêcheurs de la tolérance,
Aux moralisateurs de conscience,
J’aimerais rappeler quelques mots
Qu’on entend sitôt qu’on est minot,
L’habit ne fait pas le moine
Et c’est tout nu que je me pavane
[Refrain]
Ce que tu vois n’est pas ce que je suis,
Ce que tu penses, n’est pas l’ordre établi,
Ce que je dis, n’est pas ce que je pense,
Les appareuses trompences
Ce que tu vois n’est pas ce que je suis,
Ce que tu penses, n’est pas l’ordre établi,
Ce que je dis, n’est pas ce que je pense
Les appareuses trompences
Les lignes, les bornes, les barrières
Ont toujours un air pénitencier
Quand c’est l’institution qui te cloisonne
Ces pensées qui libèrent les hommes
À vouloir trop suivre la dictée
On devient des pantins ficelés
J’ai pour ma part toujours voulu
Voir et découvrir un peu plus
Mais à l’instar des grands discours,
La liberté d’étouffer toujours
[Refrain]
Que ce soit chemise ou poème
Je maquille le monde et moi-même
Jeu de mots, jeu de couleurs
Donner des roses pour des pleurs
Que tu sois d’ici ou là-bas
Rien n’est plus fort que ce que tu vois
Un inconscient droit de recours
Ou toutes les beautés que tu découvres
Les yeux qui voient le vrai de nous
Sont l’apanage des sages et des fous
J’ai tracé dans la pierre, sur ma peau
À l’encre ou au couteau,
Quelque chose d’insolence,
Une forme d’indépendance
[Refrain]
Les appareuses trompences,
Les appareuses trompences,
Les appareuses trompences!
J’ai tracé sur la pierre, dans ma peau
Les appareuses trompences.