Les paroles de la chanson
« Les années qui cognent »
Anne Sylvestre
Il y a des années qui cognent
Et qui dégagent le chemin
Où on en reçoit plein la trogne
Où on se sent plus orphelin
Il y a des années si grises
Qu’on ne sait plus où se cacher
Les copains ont fait la valise
Sans qu’on ait pu les empêcher
{Refrain:}
Quand de parler on sera ivres
Quand on aura même pleuré
On n’ pensera plus à les suivre
Mais on n’ sera pas consolés
Faudra continuer à vivre
Il y a des années voraces
Qui nous dévorent dans la main
Fonfon, Jeannot, Luce et j’en passe
Et je ne parle que des miens
Pour mieux conjurer la colère
On se rapproche, on se tient chaud
On sent qu’un danger se resserre
On en plaisante, on chante faux
{au Refrain}
Il y a des années mauvaises
Et qui ne tournent pas très rond
Qui nous font dire des fadaises
Qui nous font pleurer pour de bon
Mais nous donnent envie de nous battre
Et de tenir et de flamber
De gravir enfin quatre à quatre
L’escalier qui reste à grimper
{au Refrain}
Faudra continuer à vivre
Et qui dégagent le chemin
Où on en reçoit plein la trogne
Où on se sent plus orphelin
Il y a des années si grises
Qu’on ne sait plus où se cacher
Les copains ont fait la valise
Sans qu’on ait pu les empêcher
{Refrain:}
Quand de parler on sera ivres
Quand on aura même pleuré
On n’ pensera plus à les suivre
Mais on n’ sera pas consolés
Faudra continuer à vivre
Il y a des années voraces
Qui nous dévorent dans la main
Fonfon, Jeannot, Luce et j’en passe
Et je ne parle que des miens
Pour mieux conjurer la colère
On se rapproche, on se tient chaud
On sent qu’un danger se resserre
On en plaisante, on chante faux
{au Refrain}
Il y a des années mauvaises
Et qui ne tournent pas très rond
Qui nous font dire des fadaises
Qui nous font pleurer pour de bon
Mais nous donnent envie de nous battre
Et de tenir et de flamber
De gravir enfin quatre à quatre
L’escalier qui reste à grimper
{au Refrain}
Faudra continuer à vivre