Les paroles de la chanson
« Les amours de journaux »
Salvatore Adamo
Quand j’ai vu la photo
Me montrant de dos
Avec la future Bardot
Je me suis dit : "Pas mal!"
Et c’est bien normal
J’écrivis au journal
Et on s’est rencontré
Et l’on s’est aimé
Et presque marié
Dieu qu’on était heureux
Les yeux dans les yeux
Sous les mêmes feux
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau
Mais quatre mois plus tard
Dans les mêmes canards
On la vit dans un bar
Aux bras d’un gigolo
Un gars de Rio
Qu’était même pas beau
Dieu j’aime pas qu’on me roule
Ça me met les nerfs en boule
Il faut que le sang coule
Mais c’est bon que l’on le sache
Alors avant que je me fâche
J’ai attendu les flashs
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau
Mon coeur s’est écorché
Sur le coeur de pierre
De cette cruelle enfant
C’est vrai je l’ai cherchée
Je suis trop sincère
Et pas assez méfiant
Mais depuis ce matin
Dans les petits potins
Je tenais par la main
Une autre fille plus belle
Le devoir m’appelle
Je suis à vous mam’selle
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau.
Me montrant de dos
Avec la future Bardot
Je me suis dit : "Pas mal!"
Et c’est bien normal
J’écrivis au journal
Et on s’est rencontré
Et l’on s’est aimé
Et presque marié
Dieu qu’on était heureux
Les yeux dans les yeux
Sous les mêmes feux
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau
Mais quatre mois plus tard
Dans les mêmes canards
On la vit dans un bar
Aux bras d’un gigolo
Un gars de Rio
Qu’était même pas beau
Dieu j’aime pas qu’on me roule
Ça me met les nerfs en boule
Il faut que le sang coule
Mais c’est bon que l’on le sache
Alors avant que je me fâche
J’ai attendu les flashs
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau
Mon coeur s’est écorché
Sur le coeur de pierre
De cette cruelle enfant
C’est vrai je l’ai cherchée
Je suis trop sincère
Et pas assez méfiant
Mais depuis ce matin
Dans les petits potins
Je tenais par la main
Une autre fille plus belle
Le devoir m’appelle
Je suis à vous mam’selle
Je suis le forçat
Des amours de journaux
A ce rythme-là
J’y laisserai ma peau.