Les paroles de la chanson
« Les amants »
Roch Voisine
Il n’y aura plus de vagues sur mon corps
Dessous les caresses de tes doigts
Je n’m’endormirai plus à l’aurore
Le matin où tu t’en iras
Le vent viendra mourir à ma fenêtre
Et ton parfum s’envolera
Vers les jardins où nous aurions pu être
Le matin où tu t’en iras
Les souvenirs me dévisageront
Partout où tu ne seras pas
Et je ne comprendrai rien de tout ça
Le matin où tu t’en iras
Mon amour
Mon amour
C’est toi que je voulais
Depuis toujours
Mon amour
Mon amour
Dès le premier matin
Et jusqu’après la fin
Je t’aime
Nous nous étions promis de rien attendre
Il y a déjà tant de saisons
Mais si un jour le silence vient te prendre
Ma raison perdra la raison
Ce sont ces peurs que je voudrais bannir
Je sais qu’on ne vit qu’une fois
Je sais aussi combien je vais souffrir
Le matin où tu t’en iras
Mon amour
Mon amour
C’est toi (que je voulais) (qui m’a bercé)
Depuis toujours
Mon amour
Oh mon amour
Jusqu’au dernier matin
Et jusqu’après la fin (Et même encore plus loin)
Je t’aime
Le vent viendra mourir à ma fenêtre
Et ton parfum s’envolera
Vers les jardins où nous aurions pu être
Le matin où tu t’en iras
Dessous les caresses de tes doigts
Je n’m’endormirai plus à l’aurore
Le matin où tu t’en iras
Le vent viendra mourir à ma fenêtre
Et ton parfum s’envolera
Vers les jardins où nous aurions pu être
Le matin où tu t’en iras
Les souvenirs me dévisageront
Partout où tu ne seras pas
Et je ne comprendrai rien de tout ça
Le matin où tu t’en iras
Mon amour
Mon amour
C’est toi que je voulais
Depuis toujours
Mon amour
Mon amour
Dès le premier matin
Et jusqu’après la fin
Je t’aime
Nous nous étions promis de rien attendre
Il y a déjà tant de saisons
Mais si un jour le silence vient te prendre
Ma raison perdra la raison
Ce sont ces peurs que je voudrais bannir
Je sais qu’on ne vit qu’une fois
Je sais aussi combien je vais souffrir
Le matin où tu t’en iras
Mon amour
Mon amour
C’est toi (que je voulais) (qui m’a bercé)
Depuis toujours
Mon amour
Oh mon amour
Jusqu’au dernier matin
Et jusqu’après la fin (Et même encore plus loin)
Je t’aime
Le vent viendra mourir à ma fenêtre
Et ton parfum s’envolera
Vers les jardins où nous aurions pu être
Le matin où tu t’en iras