Les paroles de la chanson
« Lequel sommes-nous ? »
Michel Sardou
Il y a l’enfant -on lui pardonne-
Qui dit c’ que répètent ses parents
Il s’en remettra s’il se donne
L’occasion de les fuir à temps
Il y a celui qui parle de tout
De tout ce qu’il n’a jamais vu
Celui-là, on le voit partout
Sur le net ou bien dans la rue
Un autre qui s’en prend à son chien
Ou à sa femme, faute d’être un homme
Jaloux de tout ce qui va bien
Miteux dans un alcool de pomme
{Refrain:}
Et l’attardé à grande échelle
Celui qui raterait le ciel
En entrant dans l’éternité
C’est fou c’ qu’on entend tous les jours
Drames de l’amour ou du volant
Et l’enquête aboutit toujours
À la même cause évidemment
J’en connais aussi qui cumulent
Laids, bêtes et méchants à la fois
Ceux-là sont têtus comme des mules
Dans leur royaume, ce sont les rois
{au Refrain}
Puis il y a ceux qui font d’ la peine
Parce que c’est comme ça qu’ils sont nés
Du jus de navet dans les veines
Pas de cerveau à irriguer
Et puis tous ceux qui ont la haine
De ceux qui les ont dépassés
Et la seule insulte qu’ils retiennent
C’est celle qui les fait fantasmer
{au Refrain}
Qui dit c’ que répètent ses parents
Il s’en remettra s’il se donne
L’occasion de les fuir à temps
Il y a celui qui parle de tout
De tout ce qu’il n’a jamais vu
Celui-là, on le voit partout
Sur le net ou bien dans la rue
Un autre qui s’en prend à son chien
Ou à sa femme, faute d’être un homme
Jaloux de tout ce qui va bien
Miteux dans un alcool de pomme
{Refrain:}
Et l’attardé à grande échelle
Celui qui raterait le ciel
En entrant dans l’éternité
C’est fou c’ qu’on entend tous les jours
Drames de l’amour ou du volant
Et l’enquête aboutit toujours
À la même cause évidemment
J’en connais aussi qui cumulent
Laids, bêtes et méchants à la fois
Ceux-là sont têtus comme des mules
Dans leur royaume, ce sont les rois
{au Refrain}
Puis il y a ceux qui font d’ la peine
Parce que c’est comme ça qu’ils sont nés
Du jus de navet dans les veines
Pas de cerveau à irriguer
Et puis tous ceux qui ont la haine
De ceux qui les ont dépassés
Et la seule insulte qu’ils retiennent
C’est celle qui les fait fantasmer
{au Refrain}