Les paroles de la chanson
« Lennon kaput valse »
Alain Souchon
Les caresses et les baisers par dix
Qu’on voulait dans les années soixante-dix,
Abandonnés dans les camions
Le long des routes,
N’en parlons plus déjà bon
Lennon kaput.
Les p’tits babas, les Lubérons, les ploucs
Piégés dans le rêve aux tifs trop longs,
Le vieux look.
J’aimais bien le ridicule discours
Qu’ils faisaient.
C’était de l’amour qu’ils Imagine,
Imaginaient...
Tu sais je sens bien que je prends la tasse
A chanter mes regrets sur une valse.
On se cache le corps dans le cachemire, le glamour.
Mon cœur, j’ai mis du chatterton autour.
Isolé du monde extérieur, on meurt.
Dans nos chansons, y a moins de chaleur
Tout à l’heure.
J’ai tristé toute la nuit seul sous la neige.
Tiens v’là les Indiens qui sortent du Privilège.
Bye, bye, les bibis, les chaleurs qu’on pense.
J’assurerais comme les kikis dans la violence.
Tu sais je vois bien que je prends la tasse
A chanter l’amour sur une valse.
Qu’on voulait dans les années soixante-dix,
Abandonnés dans les camions
Le long des routes,
N’en parlons plus déjà bon
Lennon kaput.
Les p’tits babas, les Lubérons, les ploucs
Piégés dans le rêve aux tifs trop longs,
Le vieux look.
J’aimais bien le ridicule discours
Qu’ils faisaient.
C’était de l’amour qu’ils Imagine,
Imaginaient...
Tu sais je sens bien que je prends la tasse
A chanter mes regrets sur une valse.
On se cache le corps dans le cachemire, le glamour.
Mon cœur, j’ai mis du chatterton autour.
Isolé du monde extérieur, on meurt.
Dans nos chansons, y a moins de chaleur
Tout à l’heure.
J’ai tristé toute la nuit seul sous la neige.
Tiens v’là les Indiens qui sortent du Privilège.
Bye, bye, les bibis, les chaleurs qu’on pense.
J’assurerais comme les kikis dans la violence.
Tu sais je vois bien que je prends la tasse
A chanter l’amour sur une valse.