Les paroles de la chanson
« Légende »
Édith Piaf
Il existe, dans les landes,
Le château des Quatre-Vents
Et la fort belle légende
Pour les petits et les grands...
Il paraît, quand minuit sonne,
On entend dans les couloirs
Les bruits de pas qui résonnent
Et des sanglots dans le noir.
J’ai voulu savoir la cause
De tous ces morts sans repos.
On m’a raconté des choses
Qui m’ont fait froid dans le dos...
Dès que minuit a sonné,
Le bois se met à craquer.
Le vent sanglote au dehors.
Le chiens hurlent à la mort.
Alors, parmi tous ces bruits,
Une plainte monte, monte...
Une plainte qui raconte l’histoire d’amour qui suit :
Il y avait ’y a longtemps
Que s’aimaient deux amants
Ne vivant que pour lui,
Respirant que pour elle,
Là, dans ce même lit.
Oh Dieu, qu’elle était belle...
Mais on ne voulut pas de moi.
Je n’étais pas le fils d’un roi.
On fit tout pour m’éloigner d’elle.
Jamais n’ai pu revoir ma belle.
A la fin d’un beau jour,
Elle est morte d’amour.
Dieu n’a jamais permis
De supprimer sa vie.
Elle est morte pour moi.
Moi, je suis mort pour elle.
Il ne le fallait pas, il ne fallait pas.
C’est en vain que j’appelle.
Chaque nuit, je l’entends pleurer,
Seule dans son éternité.
Christine, Christine... je t’aime,
Christine, Christine... je t’aime,
Mais elle ne m’entend pas
Et je ne la vois pas.
Christine!... Christine!... Christine!!!
Et l’irréel disparaît
Aussitôt que l’aube apparaît.
Est-ce un rêve, ou la réalité?
Là, ma légende est terminée...
Le château des Quatre-Vents
Et la fort belle légende
Pour les petits et les grands...
Il paraît, quand minuit sonne,
On entend dans les couloirs
Les bruits de pas qui résonnent
Et des sanglots dans le noir.
J’ai voulu savoir la cause
De tous ces morts sans repos.
On m’a raconté des choses
Qui m’ont fait froid dans le dos...
Dès que minuit a sonné,
Le bois se met à craquer.
Le vent sanglote au dehors.
Le chiens hurlent à la mort.
Alors, parmi tous ces bruits,
Une plainte monte, monte...
Une plainte qui raconte l’histoire d’amour qui suit :
Il y avait ’y a longtemps
Que s’aimaient deux amants
Ne vivant que pour lui,
Respirant que pour elle,
Là, dans ce même lit.
Oh Dieu, qu’elle était belle...
Mais on ne voulut pas de moi.
Je n’étais pas le fils d’un roi.
On fit tout pour m’éloigner d’elle.
Jamais n’ai pu revoir ma belle.
A la fin d’un beau jour,
Elle est morte d’amour.
Dieu n’a jamais permis
De supprimer sa vie.
Elle est morte pour moi.
Moi, je suis mort pour elle.
Il ne le fallait pas, il ne fallait pas.
C’est en vain que j’appelle.
Chaque nuit, je l’entends pleurer,
Seule dans son éternité.
Christine, Christine... je t’aime,
Christine, Christine... je t’aime,
Mais elle ne m’entend pas
Et je ne la vois pas.
Christine!... Christine!... Christine!!!
Et l’irréel disparaît
Aussitôt que l’aube apparaît.
Est-ce un rêve, ou la réalité?
Là, ma légende est terminée...