Les paroles de la chanson
« Le vieux sébastien »
Gérard Jaffrès
Il s’en allait dans la nuit sombre
Chaque soir, il sortait de l’ombre
Pour offrir un peu d’amitié
Aux pauvres types, aux oubliés
Faut dire qu’il n’avait peur de rien
Le vieux Sébastien
Il était dev’nu le copain
Des durs, des pauvres et des vauriens
Pour une seule main serrée
Pour un p’tit peu d’humanité
Faut dire qu’il les comprenait bien
Le vieux Sébastien
{Refrain:}
Il leur disait que la vie
C’ n’était pas l’enfer, pas l’paradis
C’ n’était pas grand chose, tu vois
Mais ça r’donnait de l’espoir quelquefois
Il leur parlait de tout, de rien
Sans jamais guider leur chemin
Il n’était pas là en prophète
Il n’en avait même pas la tête
L’écoute, c’ n’était pas son destin
Au vieux Sébastien
{au Refrain}
Quand il avait refait le monde
Pour un instant, une seconde
Doucement, il rentrait chez lui
Sans jamais faire le moindre bruit
Faut dire qu’c’était quelqu’un de bien
Le vieux Sébastien
Quand il fait noir sur ma vie
Il m’arrive de penser à lui
Ce n’est pas grand chose, tu vois
Mais ça m’redonne de l’espoir quelquefois
Chaque soir, il sortait de l’ombre
Pour offrir un peu d’amitié
Aux pauvres types, aux oubliés
Faut dire qu’il n’avait peur de rien
Le vieux Sébastien
Il était dev’nu le copain
Des durs, des pauvres et des vauriens
Pour une seule main serrée
Pour un p’tit peu d’humanité
Faut dire qu’il les comprenait bien
Le vieux Sébastien
{Refrain:}
Il leur disait que la vie
C’ n’était pas l’enfer, pas l’paradis
C’ n’était pas grand chose, tu vois
Mais ça r’donnait de l’espoir quelquefois
Il leur parlait de tout, de rien
Sans jamais guider leur chemin
Il n’était pas là en prophète
Il n’en avait même pas la tête
L’écoute, c’ n’était pas son destin
Au vieux Sébastien
{au Refrain}
Quand il avait refait le monde
Pour un instant, une seconde
Doucement, il rentrait chez lui
Sans jamais faire le moindre bruit
Faut dire qu’c’était quelqu’un de bien
Le vieux Sébastien
Quand il fait noir sur ma vie
Il m’arrive de penser à lui
Ce n’est pas grand chose, tu vois
Mais ça m’redonne de l’espoir quelquefois