Les paroles de la chanson
« Le vieux marin »
Paul Louka
Il ne navigue plus
Que les matins d’averse
Quand il a tellement plu
Que le ciel est en perce
S’il marche en titubant
Ce n’est pas le roulis
Mais la valse des ans
La bière et le vin gris
Il va voir la marée
Galoper ventre à terre
Et rêve de bordées
Et raconte à la mer
{Refrain:}
Je sais trop bien que tu m’attends
Comme on attend les grands navires
Qui reviennent de temps en temps
De Singapour ou d’Australie
Je sais trop bien que tu m’attends
Et que j’ai tellement à te dire
Qu’il fait brouillard ou qu’il fait vent
Que ma demeure est un navire
Que ma demeure est l’océan
Il ne navigue plus
Que derrière sa fenêtre
Vers des pays perdus
Que lui seul doit connaître
S’il raccroche sans fin
Ses filets de cafard
C’est qu’il traîne après lui
Des envies de départ
Et des grandes marées
Et des vents de travers
Et des soirs de bordées
Et raconte à la mer
{au Refrain, x2}
Que les matins d’averse
Quand il a tellement plu
Que le ciel est en perce
S’il marche en titubant
Ce n’est pas le roulis
Mais la valse des ans
La bière et le vin gris
Il va voir la marée
Galoper ventre à terre
Et rêve de bordées
Et raconte à la mer
{Refrain:}
Je sais trop bien que tu m’attends
Comme on attend les grands navires
Qui reviennent de temps en temps
De Singapour ou d’Australie
Je sais trop bien que tu m’attends
Et que j’ai tellement à te dire
Qu’il fait brouillard ou qu’il fait vent
Que ma demeure est un navire
Que ma demeure est l’océan
Il ne navigue plus
Que derrière sa fenêtre
Vers des pays perdus
Que lui seul doit connaître
S’il raccroche sans fin
Ses filets de cafard
C’est qu’il traîne après lui
Des envies de départ
Et des grandes marées
Et des vents de travers
Et des soirs de bordées
Et raconte à la mer
{au Refrain, x2}