Les paroles de la chanson
« Le verre vide »
Michel Sardou
Un pincement au cœur
Dans le désert des heures,
Le bruit d’un ascenseur,
La bizarre rumeur
Et le monde commence,
En prélude à la danse,
Un visage lumière,
Le sang qui accélère
Et quelques mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.
Un frisson dans la nuit,
Un vertige, une envie,
Une flambée de chaleur,
Une étrange douleur.
Le corps qui se délivre
De son désir de vivre
Et, soudain, qui s’effondre
Et bascule dans l’ombre,
Deux ou trois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.
Un océan qui roule
Des torrents et des foules,
Un horizon penché
Un lit pour se coucher.
Et la mer se retire,
Emportant le navire,
Nous laissant tout mouillés
Sur un sable argenté,
Deux ou trois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.
Dans le désert des heures,
Le bruit d’un ascenseur,
La bizarre rumeur
Et le monde commence,
En prélude à la danse,
Un visage lumière,
Le sang qui accélère
Et quelques mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.
Un frisson dans la nuit,
Un vertige, une envie,
Une flambée de chaleur,
Une étrange douleur.
Le corps qui se délivre
De son désir de vivre
Et, soudain, qui s’effondre
Et bascule dans l’ombre,
Deux ou trois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.
Un océan qui roule
Des torrents et des foules,
Un horizon penché
Un lit pour se coucher.
Et la mer se retire,
Emportant le navire,
Nous laissant tout mouillés
Sur un sable argenté,
Deux ou trois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques rires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l’on vide.