Les paroles de la chanson
« Le train fatal »
Raoul De Godewarsvelde
Dans la campagne verdoyante
Le train longeant sa voie de fer
Emporte une foule bruyante
Tout là-bas, vers la grande mer
Le mécanicien Jean, sur sa locomotive
Regarde l’air mauvais Blaise, le beau chauffeur
La colère dans ses yeux luit d’une flamme vive
De sa femme chérie, Blaise a volé le coeur!!
Roule, roule, train du plaisir
Dans la plaine jolie
Vers ton bel avenir
D’amour et de folie
L’homme rude et noir qui conduit
Cette joyeuse foule
Sent de ses yeux rougis
Une larme qui coule
Des heureux voyageurs, on entend les refrains
Suivant les rails et son destin
C’est le train du plaisir qui roule
Le pauvre Jean, perdant la tête,
Rendu fou par la trahison,
Sur son rival soudain se jette
Criant :"Bandit, rends-moi Lison!"
Le chauffeur éperdu fait tournoyer sa pelle
Jean lui sautant au cou, l’étrangle comme un chien
Et tous les deux rivés par l’étreinte mortelle
Tombent de la machine, abandonnant leur train!
Roule, roule, train du malheur
Dans la plaine assombrie
Roule à toute vapeur
D’un élan de folie
Les paysans, saisis, te voyant
Tout seul fendant l’espace
Se signent en priant
Et la terreur les glace!
Des heureux voyageurs on entend les refrains
Suivant son terrible destin
C’est le train du malheur qui passe.
Tiens, la chose est vraiment bizarre
On devait s’arrêter ici!
Le train brûle encore une gare
Ah, ça, que veut dire ceci?
Alors du train maudit, une clameur s’élève
On entend des sanglots et des cris de déments
Chacun revoit sa vie dans un rapide rêve
Puis c’est le choc, le feu, les appels déchirants
Flambe, flambe, train de la mort
Dans la plaine rougie
Tout se brise et se tord
Sous un vent de folie
Les petits enfants, leurs mamans
S’appellent dans les flammes
Les amoureux râlant
Réunissent leurs âmes
Pourquoi ces pleurs, ces cris, pourquoi ces orphelins
Pour un simple, un tout petit rien :
L’infidélité d’une femme!!!!
Le train longeant sa voie de fer
Emporte une foule bruyante
Tout là-bas, vers la grande mer
Le mécanicien Jean, sur sa locomotive
Regarde l’air mauvais Blaise, le beau chauffeur
La colère dans ses yeux luit d’une flamme vive
De sa femme chérie, Blaise a volé le coeur!!
Roule, roule, train du plaisir
Dans la plaine jolie
Vers ton bel avenir
D’amour et de folie
L’homme rude et noir qui conduit
Cette joyeuse foule
Sent de ses yeux rougis
Une larme qui coule
Des heureux voyageurs, on entend les refrains
Suivant les rails et son destin
C’est le train du plaisir qui roule
Le pauvre Jean, perdant la tête,
Rendu fou par la trahison,
Sur son rival soudain se jette
Criant :"Bandit, rends-moi Lison!"
Le chauffeur éperdu fait tournoyer sa pelle
Jean lui sautant au cou, l’étrangle comme un chien
Et tous les deux rivés par l’étreinte mortelle
Tombent de la machine, abandonnant leur train!
Roule, roule, train du malheur
Dans la plaine assombrie
Roule à toute vapeur
D’un élan de folie
Les paysans, saisis, te voyant
Tout seul fendant l’espace
Se signent en priant
Et la terreur les glace!
Des heureux voyageurs on entend les refrains
Suivant son terrible destin
C’est le train du malheur qui passe.
Tiens, la chose est vraiment bizarre
On devait s’arrêter ici!
Le train brûle encore une gare
Ah, ça, que veut dire ceci?
Alors du train maudit, une clameur s’élève
On entend des sanglots et des cris de déments
Chacun revoit sa vie dans un rapide rêve
Puis c’est le choc, le feu, les appels déchirants
Flambe, flambe, train de la mort
Dans la plaine rougie
Tout se brise et se tord
Sous un vent de folie
Les petits enfants, leurs mamans
S’appellent dans les flammes
Les amoureux râlant
Réunissent leurs âmes
Pourquoi ces pleurs, ces cris, pourquoi ces orphelins
Pour un simple, un tout petit rien :
L’infidélité d’une femme!!!!