Les paroles de la chanson
« Le tourbillon »
Tal
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m’enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d’opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l’ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m’fut fatal,
De femme fatale qui m’fut fatal.
On s’est connus, on s’est reconnus,
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus d’vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffés,
Puis on s’est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l’tourbillon de la vie
Je l’ai revue un soir, Aïe Aïe Aïe
Ça fait déjà un fameux bail,
Ça fait déjà un fameux bail.
Au son des banjos je l’ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m’avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M’émurent plus que jamais.
Je me suis soûlée en l’écoutant.
L’alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillée en sentant
Des baisers sur mon front brûlant,
Des baisers sur mon front brûlant.
On s’est connus, on s’est reconnus.
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus de vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffées,
Puis on s’est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans le tourbillon de la vie.
Je l’ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras,
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s’est connus,
Quand on s’est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue.
Quand on s’est retrouvés,
Quand on s’est réchauffés,
Pourquoi se séparés.
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner, tous les deux enlacés,
Tous les deux enlacés, tous les deux enlacés.
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m’enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d’opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l’ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m’fut fatal,
De femme fatale qui m’fut fatal.
On s’est connus, on s’est reconnus,
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus d’vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffés,
Puis on s’est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l’tourbillon de la vie
Je l’ai revue un soir, Aïe Aïe Aïe
Ça fait déjà un fameux bail,
Ça fait déjà un fameux bail.
Au son des banjos je l’ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m’avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M’émurent plus que jamais.
Je me suis soûlée en l’écoutant.
L’alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillée en sentant
Des baisers sur mon front brûlant,
Des baisers sur mon front brûlant.
On s’est connus, on s’est reconnus.
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus de vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffées,
Puis on s’est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans le tourbillon de la vie.
Je l’ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras,
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s’est connus,
Quand on s’est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue.
Quand on s’est retrouvés,
Quand on s’est réchauffés,
Pourquoi se séparés.
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner, tous les deux enlacés,
Tous les deux enlacés, tous les deux enlacés.