Les paroles de la chanson
« Le thé à… »
Jean-Michel Piton
Tu peux toujours, vieil apprenti pirate,
Nous raconter tes histoires de picrate
De ton haleine chargée au roquefort
Toutes tes soirées aux alcools forts
Vodka, kirsch, armagnac, cognac, calva
Poussent leurs rapières jusque dans l’estomac
Mais j’ vais t’ donner un conseil, mon p’tit père :
Y a mieux pour soigner ton ulcère
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Qui t’explose sur la glotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Rien qu’ d’y penser, moi, ça me paralyse
Tu t’ rinces les crocs, le matin, au gin fizz
Quand tu t’ parfumes aux liqueurs de noyaux
J’en dégueulerais triple boyaux
Rhum, whisky, mescal, tequila, grappa
Tous ces sirops ne t’empêcheront pas
De te choper dans l’ buffet la grippe a-
viaire, si tu ne m’écoutes pas
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Et j’ peux dire qu’il décalotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Tu veux m’ faire croire, ô mon pauvre sherry,
Que du sang bleu coule dans tes spaghettis
Que ta lignée descendrait des Bourbons
Par Joséphine Napoléon
Schnaps, ouzo, raki, saké, kézako?
C’est d’ la becquetée pour les petits oiseaux
C’est d’ la bibine à côté du fourneau
Qui t’ brûle la gueule au chalumeau
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Qui t’ fout l’ cul en papillote
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le seul qui nous ravigote
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Nous raconter tes histoires de picrate
De ton haleine chargée au roquefort
Toutes tes soirées aux alcools forts
Vodka, kirsch, armagnac, cognac, calva
Poussent leurs rapières jusque dans l’estomac
Mais j’ vais t’ donner un conseil, mon p’tit père :
Y a mieux pour soigner ton ulcère
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Qui t’explose sur la glotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Rien qu’ d’y penser, moi, ça me paralyse
Tu t’ rinces les crocs, le matin, au gin fizz
Quand tu t’ parfumes aux liqueurs de noyaux
J’en dégueulerais triple boyaux
Rhum, whisky, mescal, tequila, grappa
Tous ces sirops ne t’empêcheront pas
De te choper dans l’ buffet la grippe a-
viaire, si tu ne m’écoutes pas
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Et j’ peux dire qu’il décalotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Tu veux m’ faire croire, ô mon pauvre sherry,
Que du sang bleu coule dans tes spaghettis
Que ta lignée descendrait des Bourbons
Par Joséphine Napoléon
Schnaps, ouzo, raki, saké, kézako?
C’est d’ la becquetée pour les petits oiseaux
C’est d’ la bibine à côté du fourneau
Qui t’ brûle la gueule au chalumeau
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Qui t’ fout l’ cul en papillote
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le seul qui nous ravigote
Car rien ne vaut, non, rien ne vaut
Le thé à... Le thé à...
Le thé à la mère Gabotte