Les paroles de la chanson
« Le temps des œufs au plat »
Joe Dassin
Toi tu portais la barbe et moi
J’avais des bottes qui prennaient l’eau
Ensemble on écorchait Brassens
A la guitare et au banjo
Par flemme de rentrer se coucher
On faisait semblant de draguer
Ou on perdait des nuits entières
A discuter dans les cafés
C’était le temps, le temps des œufs au plat
C’était le temps des chambres sous les toits
Quant on dormait en grelottant dans nos manteaux
Sauf quand une fille nous tenait chaud
C’était le bon vieux temps
On s’doutait bien que le mariage
C’était le service militaire à vie
Mais nous voilà devenus sages
Moi le témoin, toi le mari
Bientôt on se donnera rendez-vous
En regardant nos agendas
Et à ta femme j’apporterai
Des petits fours, un hortensia
Ce sera le temps, le temps des dimanches au bois
Le temps des tables pliantes et des poulets froids
D’un air patient ta femme t’écoutera
Quand tu parleras encore une fois
De notre bon vieux temps
Et puis un beau soir mal à l’aise
J’arriverai accompagné
Et un regard vous suffira
Pour voir que je vais y passer
Nous attendrons l’heure de la vaisselle
Quand les femmes s’en vont de leur côté
Alors du fond de nos cognacs
Et d’nos cafés décaffeinés
On retrouvera le temps des œufs au plat
Le joli temps des chambres sous les toits
Quand on dormait en grelottant dans nos manteaux
Sauf quand une fille nous tenait chaud
Notre bon vieux temps
J’avais des bottes qui prennaient l’eau
Ensemble on écorchait Brassens
A la guitare et au banjo
Par flemme de rentrer se coucher
On faisait semblant de draguer
Ou on perdait des nuits entières
A discuter dans les cafés
C’était le temps, le temps des œufs au plat
C’était le temps des chambres sous les toits
Quant on dormait en grelottant dans nos manteaux
Sauf quand une fille nous tenait chaud
C’était le bon vieux temps
On s’doutait bien que le mariage
C’était le service militaire à vie
Mais nous voilà devenus sages
Moi le témoin, toi le mari
Bientôt on se donnera rendez-vous
En regardant nos agendas
Et à ta femme j’apporterai
Des petits fours, un hortensia
Ce sera le temps, le temps des dimanches au bois
Le temps des tables pliantes et des poulets froids
D’un air patient ta femme t’écoutera
Quand tu parleras encore une fois
De notre bon vieux temps
Et puis un beau soir mal à l’aise
J’arriverai accompagné
Et un regard vous suffira
Pour voir que je vais y passer
Nous attendrons l’heure de la vaisselle
Quand les femmes s’en vont de leur côté
Alors du fond de nos cognacs
Et d’nos cafés décaffeinés
On retrouvera le temps des œufs au plat
Le joli temps des chambres sous les toits
Quand on dormait en grelottant dans nos manteaux
Sauf quand une fille nous tenait chaud
Notre bon vieux temps