Les paroles de la chanson
« Le temps de nos guitares »
Georges Moustaki
Au joli temps de nos guitares
Brassens criait "Gare au gorille!"
Sacha parlait de sa famille
Maxime était né quelque part
Dylan était comme pierre qui roule
Et Brel faisait valser Vesoul
Paco rythmait "A galopar"
Au temps joli de nos guitares
Au joli temps de nos guitares
Leclerc chantait "Moi, mes souliers"
Lemarque "Un petit cordonnier"
Danal fredonnait "Le soudard"
Coluche ressuscitait Bruant
Joël était adolescent
C’était Ferrat, c’était Béart
Le temps joli de nos guitares
Au temps joli de nos guitares
Aufray chantait "Santiano"
Ricet à la servante du chatiau (dans ses gros sabiaux)
C’était Perret, Sylvestre et Var
Robert venait de Montréal
Et Jacques de son Douai natal
C’était Gainsbourg avant Gainsbarre
Le temps joli de nos guitares
Au joli temps de nos guitares
Brassens criait "Gare au gorille!"
Sacha parlait de sa famille
Maxime était né quelque part
Henri chantait sa chanson douce
C’était lui notre maître à tous
Moi, je vivais comme un lézard
Au temps joli de nos guitares
Il y en avait tant et tant
Que j’en oublie, c’est évident
Que l’on pardonne à ma mémoire
Du temps joli de nos guitares
Du temps joli de nos guitares
Du temps joli de nos guitares
Brassens criait "Gare au gorille!"
Sacha parlait de sa famille
Maxime était né quelque part
Dylan était comme pierre qui roule
Et Brel faisait valser Vesoul
Paco rythmait "A galopar"
Au temps joli de nos guitares
Au joli temps de nos guitares
Leclerc chantait "Moi, mes souliers"
Lemarque "Un petit cordonnier"
Danal fredonnait "Le soudard"
Coluche ressuscitait Bruant
Joël était adolescent
C’était Ferrat, c’était Béart
Le temps joli de nos guitares
Au temps joli de nos guitares
Aufray chantait "Santiano"
Ricet à la servante du chatiau (dans ses gros sabiaux)
C’était Perret, Sylvestre et Var
Robert venait de Montréal
Et Jacques de son Douai natal
C’était Gainsbourg avant Gainsbarre
Le temps joli de nos guitares
Au joli temps de nos guitares
Brassens criait "Gare au gorille!"
Sacha parlait de sa famille
Maxime était né quelque part
Henri chantait sa chanson douce
C’était lui notre maître à tous
Moi, je vivais comme un lézard
Au temps joli de nos guitares
Il y en avait tant et tant
Que j’en oublie, c’est évident
Que l’on pardonne à ma mémoire
Du temps joli de nos guitares
Du temps joli de nos guitares
Du temps joli de nos guitares