Les paroles de la chanson
« Le téléphone »
François Deguelt
C’est lui le vrai complice des amours passagères
C’est à lui qu’on s’accroche avec fébrilité
Lorsque l’on n’a plus peur de l’air autoritaire
De celle qui, hier soir encore, se refusait
C’est le rempart ami, protecteur des timides
L’ami des imbéciles qui se prennent au sérieux
En tenant l’écouteur avec un air splendide
"Allô, mon cher collègue" "Allô, pardon Monsieur"
{Refrain:}
Le téléphone sonne, sonne
Dans les maisons et dans les cours
Le téléphone sonne, sonne
Pour les affaires, pour les amours
Les scènes de rupture ne durent pas des heures
Même pour ceux qui vont, après, se foutre à l’eau
Le téléphone crie, le téléphone pleure
Avec des crachotis ridicules et mélos
Et pour la standardiste qui rêve de vacances
L’esprit écartelé par tant de boniments
Sans pudeur, il déballe toute son existence
Les voyous, les affaires, les amours, les serments
{au Refrain}
Mais il est le bourreau des amoureux sincères
Et donne de l’angoisse à chaque hésitation
Il déchire parfois et c’est une misère
De sentir son amour par-delà les maisons
Il soupire si loin, rabougri dans l’espace
Ton cœur contre mon cœur garde toujours sa place
Et ce bruit de baiser qui conclut nos adieux
Ne remplacera jamais la caresse des yeux
{au Refrain}
C’est à lui qu’on s’accroche avec fébrilité
Lorsque l’on n’a plus peur de l’air autoritaire
De celle qui, hier soir encore, se refusait
C’est le rempart ami, protecteur des timides
L’ami des imbéciles qui se prennent au sérieux
En tenant l’écouteur avec un air splendide
"Allô, mon cher collègue" "Allô, pardon Monsieur"
{Refrain:}
Le téléphone sonne, sonne
Dans les maisons et dans les cours
Le téléphone sonne, sonne
Pour les affaires, pour les amours
Les scènes de rupture ne durent pas des heures
Même pour ceux qui vont, après, se foutre à l’eau
Le téléphone crie, le téléphone pleure
Avec des crachotis ridicules et mélos
Et pour la standardiste qui rêve de vacances
L’esprit écartelé par tant de boniments
Sans pudeur, il déballe toute son existence
Les voyous, les affaires, les amours, les serments
{au Refrain}
Mais il est le bourreau des amoureux sincères
Et donne de l’angoisse à chaque hésitation
Il déchire parfois et c’est une misère
De sentir son amour par-delà les maisons
Il soupire si loin, rabougri dans l’espace
Ton cœur contre mon cœur garde toujours sa place
Et ce bruit de baiser qui conclut nos adieux
Ne remplacera jamais la caresse des yeux
{au Refrain}