Les paroles de la chanson
« Le tango de lola »
Berthe Sylva
[Introduction parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle chantait ce doux refrain d’amour
---
{Refrain:}
C’est pour toi Lola, ô ma brune
Que ce soir j’ai fait ce tango
En rêvant seul sous la lune
Au son des guitares et des banjos
Hélas! Je n’ai pas de fortune
Pour pouvoir t’offrir des joyaux
Et c’est pourquoi, ô ma brune
J’ai mis tout mon cœur dans ce tango
Je sais bien que les hommes t’admirent
Je les vois rôder autour de toi
Comme un aimant tu les attires
Et j’en souffre malgré moi
Je sais bien que certains te promettent
Des richesses pour mieux te tenter
Et pourtant, moi, pauvre poète
Dans l’espoir de te charmer
{au Refrain}
Je sais bien que tout ton être grise
Que celui qui te tient dans ses bras
Est à jamais sous ton emprise
Et qu’il ne se reprend pas
Oui, je sais tout cela mais quand même
Contre moi je voudrais te tenir
Car plus que tout, vois-tu, je t’aime
Tant pis si je dois souffrir
{au Refrain}
---
[Conclusion parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle a chanté ce doux refrain d’amour
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle chantait ce doux refrain d’amour
---
{Refrain:}
C’est pour toi Lola, ô ma brune
Que ce soir j’ai fait ce tango
En rêvant seul sous la lune
Au son des guitares et des banjos
Hélas! Je n’ai pas de fortune
Pour pouvoir t’offrir des joyaux
Et c’est pourquoi, ô ma brune
J’ai mis tout mon cœur dans ce tango
Je sais bien que les hommes t’admirent
Je les vois rôder autour de toi
Comme un aimant tu les attires
Et j’en souffre malgré moi
Je sais bien que certains te promettent
Des richesses pour mieux te tenter
Et pourtant, moi, pauvre poète
Dans l’espoir de te charmer
{au Refrain}
Je sais bien que tout ton être grise
Que celui qui te tient dans ses bras
Est à jamais sous ton emprise
Et qu’il ne se reprend pas
Oui, je sais tout cela mais quand même
Contre moi je voudrais te tenir
Car plus que tout, vois-tu, je t’aime
Tant pis si je dois souffrir
{au Refrain}
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[Conclusion parlée, dans la version de Jean Lumière uniquement:]
À Séville, un galant, vers le déclin du jour
À sa belle a chanté ce doux refrain d’amour