Les paroles de la chanson
« Le soir quand on est deux »
Ludovic Huot
Quand la nuit descend sur la ville
Quand tout devient silencieux,
Dans l’ombre des gens se faufilent
Ce sont des couples d’amoureux
Tout bas, caressants, ils murmurent
"Regarde les étoiles aux cieux
Elles sont belles mais je jure
Pas une ne vaut tes beaux yeux"
Le soir quand on est deux
Et qu’on est amoureux
Ah! que la vie est belle
C’est la chanson nouvelle
Qu’on dit, le cœur joyeux
Et dans la nuit grise
On va d’un pas léger
Le bonheur a des ailes
Ah! que la vie est belle
Le soir quand on est deux
Mais les amours sont éphémères
Un soir, jaloux, plein de rancœur
On dit des paroles amères
Des mots qui déchirent le cœur
On devient brutal, on s’égare
Sans réfléchir, on se meurtrit
Et bêtement, on se sépare
Sans souci du bonheur détruit
Lorsque l’on n’est plus deux
Et qu’on est malheureux
Que la vie est cruelle
Et puis l’on se rappelle
Tous les moments heureux
On rêve, on croit la voir
Et fou de désespoir
Dans la nuit, on l’appelle.
Que la vie est cruelle
Lorsque l’on n’est plus deux
On rêve, on croit la voir
Et fou de désespoir
Dans la nuit on l’appelle
Que la vie est cruelle
Lorsque l’on n’est plus deux
Quand tout devient silencieux,
Dans l’ombre des gens se faufilent
Ce sont des couples d’amoureux
Tout bas, caressants, ils murmurent
"Regarde les étoiles aux cieux
Elles sont belles mais je jure
Pas une ne vaut tes beaux yeux"
Le soir quand on est deux
Et qu’on est amoureux
Ah! que la vie est belle
C’est la chanson nouvelle
Qu’on dit, le cœur joyeux
Et dans la nuit grise
On va d’un pas léger
Le bonheur a des ailes
Ah! que la vie est belle
Le soir quand on est deux
Mais les amours sont éphémères
Un soir, jaloux, plein de rancœur
On dit des paroles amères
Des mots qui déchirent le cœur
On devient brutal, on s’égare
Sans réfléchir, on se meurtrit
Et bêtement, on se sépare
Sans souci du bonheur détruit
Lorsque l’on n’est plus deux
Et qu’on est malheureux
Que la vie est cruelle
Et puis l’on se rappelle
Tous les moments heureux
On rêve, on croit la voir
Et fou de désespoir
Dans la nuit, on l’appelle.
Que la vie est cruelle
Lorsque l’on n’est plus deux
On rêve, on croit la voir
Et fou de désespoir
Dans la nuit on l’appelle
Que la vie est cruelle
Lorsque l’on n’est plus deux