Les paroles de la chanson
« Le sachet blanc »
IAM
Les pas d’un pauvre mec pressé le mènent à une mort certaine et précoce
Il le sait depuis qu’il a vu son frère échanger
Un sachet blanc contre de l’argent avec un mec du quartier
Alors pourquoi ne pas faire comme lui
Il trouva de l’argent pour acheter son coin de paradis
Un billet en première pour l’extase en charter
C’était bien cher payer pour une jouissance éphémère
Et aujourd’hui, telle est son existence
Vendre des petits paquets pour assouvir sa dépendance
Hum, et une nuit tout bascula
Pendant qu’il vendait, une patrouille l’embarqua
Il ne revit sa ville que derrière des barreaux
Et mourrut seul avec sa dernière dose d’héro
Il n’y eut personne pour pleurer lors de l’enterrement
Le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs
REFRAIN x2 :
Le sachet blanc m’empoisonne le sang,
Le sachet blanc m’empoisonne la vie,
Autour de moi s’est arrêté le temps
J’ai dû me tromper de paradis.
Une rue sombre, une limousine s’y engage
En face d’elle une cadillac attend sous l’orage
On sort la marchandise, et la petite valise
La tension s’attise sous les gabardines grises
Car les gars qui sont là n’ont plus rien à prouver
Dans le style enfoiré, ils se sont affirmés
La conscience tranquille, ils peuvent rentrer à la maison
Sûrs et certains de ne jamais finir en prison
Normal, ils n’arpentent pas les trottoirs et n’ont aucune idée de ce qu’est le désespoir
Pour eux, tout n’est qu’affaire de monnaie et qu’importe le prix ils n’auront pas à le payer
Il neige sur ma ville des flocons d’héroïne
Le style de poudreuse qui vous plonge dans l’abîme
Pendant que certains se frottent les mains
Pensant à l’argent qu’ils vont amasser le lendemain
Après ça on vous promet une guerre comme on en a jamais vue
Contre la drogue dans la rue
Que d’affabulation et d’extrapolations
Sachant que le poison est à l’intérieur du bastion
Et oui tout le monde sait : le problème ce n’est pas les dealers
Tuer le mal à sa source ce serait bien meilleur
Car vendre de la blanche est interdit c’est sûr
Sauf si tu as une villa sur la Côte d’Azur
Que tu ne te trimballes qu’en limousine
Et que ta femme porte un manteau en zybeline
Si tu n’as pas tout ça tu ne vis pas longtemps
Et le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs
REFRAIN
Poudre, poussière, la route n’est pas longue
Elle part de la première et s’arrête à la seconde
N’oubliant personne, ni enfant, ni homme
Tout comme l’alcool elle détruit ceux qui s’y adonnent
Ceux qui la font rentrer par tonnes n’en n’ont rien à faire
Qu’une femme enceinte s’en foute plein les veines
c’est plus fort que moi que pourrais-je leurs souhaiter d’autre
Sinon que leur fils se drogue
Lorsque leur compagne les regarderont en sanglotant
Parce que la daube aura tué la chair de leur chair, le sang de leur sang
Je leur dirai d’écouter ce soir dans la cité
Les pas d’un pauvre mec pressé
Le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs x2
REFRAIN
Le sachet blanc
Le sachet blanc
Le sachet blanc
J’ai dû me tromper de paradis
Il le sait depuis qu’il a vu son frère échanger
Un sachet blanc contre de l’argent avec un mec du quartier
Alors pourquoi ne pas faire comme lui
Il trouva de l’argent pour acheter son coin de paradis
Un billet en première pour l’extase en charter
C’était bien cher payer pour une jouissance éphémère
Et aujourd’hui, telle est son existence
Vendre des petits paquets pour assouvir sa dépendance
Hum, et une nuit tout bascula
Pendant qu’il vendait, une patrouille l’embarqua
Il ne revit sa ville que derrière des barreaux
Et mourrut seul avec sa dernière dose d’héro
Il n’y eut personne pour pleurer lors de l’enterrement
Le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs
REFRAIN x2 :
Le sachet blanc m’empoisonne le sang,
Le sachet blanc m’empoisonne la vie,
Autour de moi s’est arrêté le temps
J’ai dû me tromper de paradis.
Une rue sombre, une limousine s’y engage
En face d’elle une cadillac attend sous l’orage
On sort la marchandise, et la petite valise
La tension s’attise sous les gabardines grises
Car les gars qui sont là n’ont plus rien à prouver
Dans le style enfoiré, ils se sont affirmés
La conscience tranquille, ils peuvent rentrer à la maison
Sûrs et certains de ne jamais finir en prison
Normal, ils n’arpentent pas les trottoirs et n’ont aucune idée de ce qu’est le désespoir
Pour eux, tout n’est qu’affaire de monnaie et qu’importe le prix ils n’auront pas à le payer
Il neige sur ma ville des flocons d’héroïne
Le style de poudreuse qui vous plonge dans l’abîme
Pendant que certains se frottent les mains
Pensant à l’argent qu’ils vont amasser le lendemain
Après ça on vous promet une guerre comme on en a jamais vue
Contre la drogue dans la rue
Que d’affabulation et d’extrapolations
Sachant que le poison est à l’intérieur du bastion
Et oui tout le monde sait : le problème ce n’est pas les dealers
Tuer le mal à sa source ce serait bien meilleur
Car vendre de la blanche est interdit c’est sûr
Sauf si tu as une villa sur la Côte d’Azur
Que tu ne te trimballes qu’en limousine
Et que ta femme porte un manteau en zybeline
Si tu n’as pas tout ça tu ne vis pas longtemps
Et le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs
REFRAIN
Poudre, poussière, la route n’est pas longue
Elle part de la première et s’arrête à la seconde
N’oubliant personne, ni enfant, ni homme
Tout comme l’alcool elle détruit ceux qui s’y adonnent
Ceux qui la font rentrer par tonnes n’en n’ont rien à faire
Qu’une femme enceinte s’en foute plein les veines
c’est plus fort que moi que pourrais-je leurs souhaiter d’autre
Sinon que leur fils se drogue
Lorsque leur compagne les regarderont en sanglotant
Parce que la daube aura tué la chair de leur chair, le sang de leur sang
Je leur dirai d’écouter ce soir dans la cité
Les pas d’un pauvre mec pressé
Le sachet blanc compte un mort de plus dans ses rangs x2
REFRAIN
Le sachet blanc
Le sachet blanc
Le sachet blanc
J’ai dû me tromper de paradis