Les paroles de la chanson
« Le rendez-vous »
Richard Anthony
Tant de fois j’ai cru pouvoir aimer et être aimé
Chaque fois, je me suis retrouvé plus seul, pourquoi recommencer?
Et pourtant ce soir, je suis ici chez moi, à ce rendez-vous
Elle m’avait dit "Je viendrai, peut-être, pour parler de nous
Je regarde ma maison, ma ville, mon univers
Comme une scène sans amour, sans rien, comme un désert
Tous les livres ne m’ont rien appris, pas même l’espérance
Cet amour, ce rendez-vous, pour moi, c’est ma dernière chance
{Refrain:}
Ma vie, mon amour, me semble triste
Si tu ne viens pas, je n’existe
Je n’existe
Je n’existe
J’ai couru tous les mirages, tous les parfums de fleurs
Comme un papillon perdu, trouvé dans chaque cœur
Mais à présent je n’ai plus que la fumée de mes cigarettes
Quand je veux, sur une épaule enfin poser ma tête
{au Refrain}
C’est le jour déjà, les clochers sonnent les heures
Avec elle, j’aurais trouvé, qui sait peut-être, tant de douceur
Mais les aubes sont trop plein de peines, de rêves fous
Elle m’avait dit : Je viendrai -peut-être- pour parler de nous
Ma vie, mon amour, me semble triste
Si tu ne viens pas, je n’existe
Je n’existe
Je n’existe
Pas
lalala lala lala...
Chaque fois, je me suis retrouvé plus seul, pourquoi recommencer?
Et pourtant ce soir, je suis ici chez moi, à ce rendez-vous
Elle m’avait dit "Je viendrai, peut-être, pour parler de nous
Je regarde ma maison, ma ville, mon univers
Comme une scène sans amour, sans rien, comme un désert
Tous les livres ne m’ont rien appris, pas même l’espérance
Cet amour, ce rendez-vous, pour moi, c’est ma dernière chance
{Refrain:}
Ma vie, mon amour, me semble triste
Si tu ne viens pas, je n’existe
Je n’existe
Je n’existe
J’ai couru tous les mirages, tous les parfums de fleurs
Comme un papillon perdu, trouvé dans chaque cœur
Mais à présent je n’ai plus que la fumée de mes cigarettes
Quand je veux, sur une épaule enfin poser ma tête
{au Refrain}
C’est le jour déjà, les clochers sonnent les heures
Avec elle, j’aurais trouvé, qui sait peut-être, tant de douceur
Mais les aubes sont trop plein de peines, de rêves fous
Elle m’avait dit : Je viendrai -peut-être- pour parler de nous
Ma vie, mon amour, me semble triste
Si tu ne viens pas, je n’existe
Je n’existe
Je n’existe
Pas
lalala lala lala...