Les paroles de la chanson
« Le rat »
Dany Brillant
Quand je te vois, j’ai mon cœur qui se serre.
Quand je te vois, je ne vois plus que toi.
J’ai du bon tabac dans ma tabatière.
J’ai du bon tabac, c’est toi qui l’auras.
Quand je te vois, c’est au clair de la lune
Lorsqu’on boit, entre amis, l’apéro
Ensuite on va s’embrasser sur la dune
Et je te cueille de jolis coquelicots.
Tu sais très bien que j’aime les pommes de terre,
Alors pourquoi tu me fais des petits pois?
Si tu continues, j’appelle le commissaire
Et avec lui, tu sais, on rigole pas.
Quand je te vois, on va dans la clairière,
Et là, on joue à des jeux comme autrefois
Puis tu commences à manger les fougères,
Car les fougères, je sais, tu adores ça.
Quand je te vois, on va voir ta mère
Et on lui chante de jolies chansons
Pour l’apaiser, car ta mère, la vipère,
Elle mord le pied de ton père, le pigeon.
Quand je te vois tu lèches les paratonnerres.
Dessus y a plein d’éclairs au chocolat.
Je crois qu’t’as pris un coup sur la cafetière
Depuis qu’tu lis la baghavad gita.
Quand je te vois, on va dans ma chambrette
Et là je mange ta tête en chocolat,
Ensuite je te montre ma belle casquette
Lorsqu’à la porte frappe un très gros rat...
Quand je te vois, je ne vois plus que toi.
J’ai du bon tabac dans ma tabatière.
J’ai du bon tabac, c’est toi qui l’auras.
Quand je te vois, c’est au clair de la lune
Lorsqu’on boit, entre amis, l’apéro
Ensuite on va s’embrasser sur la dune
Et je te cueille de jolis coquelicots.
Tu sais très bien que j’aime les pommes de terre,
Alors pourquoi tu me fais des petits pois?
Si tu continues, j’appelle le commissaire
Et avec lui, tu sais, on rigole pas.
Quand je te vois, on va dans la clairière,
Et là, on joue à des jeux comme autrefois
Puis tu commences à manger les fougères,
Car les fougères, je sais, tu adores ça.
Quand je te vois, on va voir ta mère
Et on lui chante de jolies chansons
Pour l’apaiser, car ta mère, la vipère,
Elle mord le pied de ton père, le pigeon.
Quand je te vois tu lèches les paratonnerres.
Dessus y a plein d’éclairs au chocolat.
Je crois qu’t’as pris un coup sur la cafetière
Depuis qu’tu lis la baghavad gita.
Quand je te vois, on va dans ma chambrette
Et là je mange ta tête en chocolat,
Ensuite je te montre ma belle casquette
Lorsqu’à la porte frappe un très gros rat...