Les paroles de la chanson
« Le premier amour du monde »
Serge Reggiani
Le soleil est venu
Et reparti cent mille fois
Depuis le jour du premier jour
Du premier amour
Le premier amour du monde
Le premier amour du monde?
C’était... quand?
Et d’abord, comment se sont retrouvés
Comment se sont retrouvés
Le Ciel et l’Océan?
Il a pris sa main sans le savoir
Sans savoir où les menait la peur du premier soir
Il a pris son corps contre le sien
Sans savoir qu’un deuxième matin
Renaîtrait des cendres du premier matin
Ils ne savaient pas que d’autres jours
Suivraient le premier jour
Ils ne savaient pas que la naissance
La naissance engendre la vie
Et d’abord comment pouvaient-ils savoir
Comment pouvaient-ils savoir
Puisque les mots n’existaient pas
Puisque les mots n’existaient pas
Comment pouvaient-ils savoir
Que l’Amour s’appellerait l’Amour?
Ils ne savaient pas qu’ils inventaient
La vie et la mort et la lumière du mois de mai
Ils ne savaient pas que leurs enfants
Peupleraient la terre d’autres enfants
Ni que leurs cœurs allaient faire marcher le temps
Et ce soir en marchant
En marchant à contretemps de nos vingt ans
Nous faisons ce qu’ont fait longtemps
Longtemps des millions d’amants
Et je prie en pensant
A ce premier amour du monde
Que jamais ne vienne le jour
Du dernier amour
Et reparti cent mille fois
Depuis le jour du premier jour
Du premier amour
Le premier amour du monde
Le premier amour du monde?
C’était... quand?
Et d’abord, comment se sont retrouvés
Comment se sont retrouvés
Le Ciel et l’Océan?
Il a pris sa main sans le savoir
Sans savoir où les menait la peur du premier soir
Il a pris son corps contre le sien
Sans savoir qu’un deuxième matin
Renaîtrait des cendres du premier matin
Ils ne savaient pas que d’autres jours
Suivraient le premier jour
Ils ne savaient pas que la naissance
La naissance engendre la vie
Et d’abord comment pouvaient-ils savoir
Comment pouvaient-ils savoir
Puisque les mots n’existaient pas
Puisque les mots n’existaient pas
Comment pouvaient-ils savoir
Que l’Amour s’appellerait l’Amour?
Ils ne savaient pas qu’ils inventaient
La vie et la mort et la lumière du mois de mai
Ils ne savaient pas que leurs enfants
Peupleraient la terre d’autres enfants
Ni que leurs cœurs allaient faire marcher le temps
Et ce soir en marchant
En marchant à contretemps de nos vingt ans
Nous faisons ce qu’ont fait longtemps
Longtemps des millions d’amants
Et je prie en pensant
A ce premier amour du monde
Que jamais ne vienne le jour
Du dernier amour