Les paroles de la chanson
« Le premier américain »
Mayflower
Voyez comment
De sa maman,
Il réclame le sein
Le sein, malheur
Partez ailleurs
Vous êtes assassins
Du lait bouilli
Sans bactéries
Car ce petit coquin
Dans le futur
Doit être un pur
Produit américain
A l’avenir
Tous ces désirs
Seront les biens venus
Aucun objet,
Aucun sujet,
Lui sera défendu!
Faufrai pourtant
De temps en temps
Un coup de pied au cul
On vous défend
Bourreau d’enfant
Surtout n’y pensez plus
Chez un enfant
Tout chatiment
Retombe sur le sexe
Laissez-le faire
Qu’il se libère
De ses mauvais reflexes
Tendez l’autre oeil
Si dans votre oeil
Il plante son index
Faut pas l’claquer
Ou vous risquez
De lui foutre un complexe
xxxxx
L’éducation n’est pas ce qu’on affiche
Il est gregnon
Vos intentions
On dirait qu’il s’enfiche
Voyons, enfin
Puisqu’il a faim
C’est normal qu’il pleurniche
Ce doux Jésus
Qui n’a pas eu
Sa dose de haschisch
Rempli d’adresse
Et de tendresse
Faudra bien du doigté
Pour qu’il progresse
Dans la sagesse
Ou dans la nullité
Il doit avoir
Dès le bavoir
Sa personnalité
Qu’on voit grandir
Et s’épanouir
Jusqu’à maturité
Dès son cocon
s’il sort trop con
Pour apprendre un métier
Faut sans tarder
Le faire rentrer
A l’université!
De sa maman,
Il réclame le sein
Le sein, malheur
Partez ailleurs
Vous êtes assassins
Du lait bouilli
Sans bactéries
Car ce petit coquin
Dans le futur
Doit être un pur
Produit américain
A l’avenir
Tous ces désirs
Seront les biens venus
Aucun objet,
Aucun sujet,
Lui sera défendu!
Faufrai pourtant
De temps en temps
Un coup de pied au cul
On vous défend
Bourreau d’enfant
Surtout n’y pensez plus
Chez un enfant
Tout chatiment
Retombe sur le sexe
Laissez-le faire
Qu’il se libère
De ses mauvais reflexes
Tendez l’autre oeil
Si dans votre oeil
Il plante son index
Faut pas l’claquer
Ou vous risquez
De lui foutre un complexe
xxxxx
L’éducation n’est pas ce qu’on affiche
Il est gregnon
Vos intentions
On dirait qu’il s’enfiche
Voyons, enfin
Puisqu’il a faim
C’est normal qu’il pleurniche
Ce doux Jésus
Qui n’a pas eu
Sa dose de haschisch
Rempli d’adresse
Et de tendresse
Faudra bien du doigté
Pour qu’il progresse
Dans la sagesse
Ou dans la nullité
Il doit avoir
Dès le bavoir
Sa personnalité
Qu’on voit grandir
Et s’épanouir
Jusqu’à maturité
Dès son cocon
s’il sort trop con
Pour apprendre un métier
Faut sans tarder
Le faire rentrer
A l’université!