Les paroles de la chanson
« Le peu d'amour »
Cristof Gere
Si je savais vous dire un jour, la vérité sur mes tourments
Parler d’amour, mais d’autre chose, pour réveiller mes sentiments
J’ai trop bu de vos conseils, j’ai trop caché les vraies réponses
Il sera dur ce doux réveil, mais je refoule et je dénonce :
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
A la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Il y a des choses qu’on garde en soi, des événements inattendus
Ils dessinent le passé déjà et je regrette d’avoir vécu
Ces nuits de sueurs inavouables et ces promesses inavouées
Et ce discours : juste une fable; oh si j’avais tout inventé
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
A la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
Et la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Si je pouvais vous expliquer, ce que je n’comprends pas moi-même
Oh mais c’est tell’ment compliqué et si je lui disais : je t’aime
Nous serions seuls dans une chambre
Nous serions seuls pour nous comprendre
Parler d’amour, mais d’autre chose, pour réveiller mes sentiments
J’ai trop bu de vos conseils, j’ai trop caché les vraies réponses
Il sera dur ce doux réveil, mais je refoule et je dénonce :
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
A la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Il y a des choses qu’on garde en soi, des événements inattendus
Ils dessinent le passé déjà et je regrette d’avoir vécu
Ces nuits de sueurs inavouables et ces promesses inavouées
Et ce discours : juste une fable; oh si j’avais tout inventé
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
A la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Le peu d’amour que je détiens
Faible retour qui me retient
Vous avez pourtant tout tenté
J’avais failli m’y habituer
Et la voir seule dans une chambre
A ses côtés mes mains qui tremblent
Si je pouvais vous expliquer, ce que je n’comprends pas moi-même
Oh mais c’est tell’ment compliqué et si je lui disais : je t’aime
Nous serions seuls dans une chambre
Nous serions seuls pour nous comprendre