Les paroles de la chanson
« Le petit chien »
Patricia Carli
Devant, il courait
Insouciant et joyeux
Par un matin d’été
Il aboyait pour deux
Car il avait besoin
De faire partager
Les mille joies qu’un chien
Peut cacher en secret
Il était tout petit
Fragile comme un enfant
Et je n’avais que lui
Lorsque soudainement
Un sale ivrogne, un fou, l’a frappé violemment
Avant de s’en aller en riant aux éclats
Quand j’ai poussé un cri de peur, de désespoir
Quand j’ai couru vers lui, c’était déja trop tard
Mon petit chien tremblait
Je l’ai pris dans mes bras
Il a ouvert les yeux
Une dernière fois
Jusqu’à la nuit tombée
Toute seule dans cette rue
En secret, j’ai pleuré
Mon petit chien perdu
Ses jouets silencieux
Traînent dans le salon
Et j’ai des larmes aux yeux
En murmurant son nom
Désormais rien, plus rien ne peut me consoler
Ni même un être humain ni tout le monde entier
Ce monde où la folie frappe les innocents
Sans pitié, sans raison, avec acharnement
Je voudrais le tenir, ce fou, cet assassin
Et le faire souffrir à son tour comme un chien
Je voudrais le tenir, ce fou, cet assassin
Et puis le voir mourir, sans regret, comme un chien
Insouciant et joyeux
Par un matin d’été
Il aboyait pour deux
Car il avait besoin
De faire partager
Les mille joies qu’un chien
Peut cacher en secret
Il était tout petit
Fragile comme un enfant
Et je n’avais que lui
Lorsque soudainement
Un sale ivrogne, un fou, l’a frappé violemment
Avant de s’en aller en riant aux éclats
Quand j’ai poussé un cri de peur, de désespoir
Quand j’ai couru vers lui, c’était déja trop tard
Mon petit chien tremblait
Je l’ai pris dans mes bras
Il a ouvert les yeux
Une dernière fois
Jusqu’à la nuit tombée
Toute seule dans cette rue
En secret, j’ai pleuré
Mon petit chien perdu
Ses jouets silencieux
Traînent dans le salon
Et j’ai des larmes aux yeux
En murmurant son nom
Désormais rien, plus rien ne peut me consoler
Ni même un être humain ni tout le monde entier
Ce monde où la folie frappe les innocents
Sans pitié, sans raison, avec acharnement
Je voudrais le tenir, ce fou, cet assassin
Et le faire souffrir à son tour comme un chien
Je voudrais le tenir, ce fou, cet assassin
Et puis le voir mourir, sans regret, comme un chien