Les paroles de la chanson
« Le parapluie »
Daniel Bélanger
Fragile petit matin sans pluie
Que mon parapluie garde en respect
Mais le ciel est au chagrin
Et s’il avait deux mains, il chagrinerait
Je marche inquiété de me noyer dans l’orage
Et je compte au passage
Les chauffards qui ont le doigt dans le nez
Arrive rempli l’autocar
J’y monte pour m’asseoir
Mais reste debout
C’est comme être cent milliards
Sur la lune pour un soir
Ça tire dans le cou
Je regarde les aiguilles de mon temps
J’ai une fille dans le sang
Si j’arrive en retard, elle va m’engueuler
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Et puis à la sortie
J’ai plus de parapluie, je suis stupétri
M’apostrophe une jeune fille
Une maille à la cheville
Belle, elle me dit:
« Pardon cher monsieur
Est-ce à vous ceci? »
J’prends un air ébahi, je m’écrie :
« Ah! Mon parapluie! »
Elle l’a trouvé par terre
Comme un coeur presqu’ouvert
Comme le mien pour ses yeux verts
Pourquoi faut-il que le temps file?
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Et comme un bandit de grand chemin
J’continue l’air malin
L’air de tout savoir
Mais au fond je n’sais rien
Enfin presque rien
Une coche au-dessus d’une poire
Mais c’est bien suffisant
Pour aimer tendrement
Et avoir une idée
De ce qu’est la liberté
Et ça sent la poussière
Le vent embrasse la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Continuer
Continuer
Que mon parapluie garde en respect
Mais le ciel est au chagrin
Et s’il avait deux mains, il chagrinerait
Je marche inquiété de me noyer dans l’orage
Et je compte au passage
Les chauffards qui ont le doigt dans le nez
Arrive rempli l’autocar
J’y monte pour m’asseoir
Mais reste debout
C’est comme être cent milliards
Sur la lune pour un soir
Ça tire dans le cou
Je regarde les aiguilles de mon temps
J’ai une fille dans le sang
Si j’arrive en retard, elle va m’engueuler
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Et puis à la sortie
J’ai plus de parapluie, je suis stupétri
M’apostrophe une jeune fille
Une maille à la cheville
Belle, elle me dit:
« Pardon cher monsieur
Est-ce à vous ceci? »
J’prends un air ébahi, je m’écrie :
« Ah! Mon parapluie! »
Elle l’a trouvé par terre
Comme un coeur presqu’ouvert
Comme le mien pour ses yeux verts
Pourquoi faut-il que le temps file?
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Et comme un bandit de grand chemin
J’continue l’air malin
L’air de tout savoir
Mais au fond je n’sais rien
Enfin presque rien
Une coche au-dessus d’une poire
Mais c’est bien suffisant
Pour aimer tendrement
Et avoir une idée
De ce qu’est la liberté
Et ça sent la poussière
Le vent embrasse la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Et ça sent la poussière
Le vent soulève la terre
De chastes baisers
Parce que je suis libre comme l’air
Libre de faire demi-tour
J’vais continuer
Continuer
Continuer
Continuer